LA PARESSE N’EXISTE PAS
La vie est éducatrice
Vous Croyez encore que la paresse est la mère de tous les vices! Évidemment que je ne vous parle pas de la paresse des exploiteurs de ce monde qui veulent le monde entier pour une somme dérisoire, ni de la paresse qui mène à la dépravation, aux vices, aux drogues et à la décadence, mais de la paresse-décrocheuse qui nous permet de revenir à nous, de celle qui nous donne du temps, du temps pour s’apprendre!
Impossible de vraiment paresser car la vie est travail et croissance. Le simple fait de vivre et voilà que vous contribuer à l’effort et l’évolution de la vie.
L’intelligence est une entité stable, immuable et non reliée à l’effort!
Qui sait merveilleusement paresser est équilibré! La paresse nous sauve de monde trop axé sur l’Avoir. Il est bon d’en déconnecter, de relâcher, de sortir de toute obligation, de s’abandonner à soi et se plonger dans la dolce farniente. Et c’est ainsi, qu’on est en meilleure position de reprendre ce cycle infernal des temps modernes.
Il n’y a rien de tel que de s’endormir avec une problématique en tête, pour se réveiller avec étonnement avec la réponse. Le sommeil comme la paresse sont du travail et ils sont essentiels voire vitaux.
La contemplation constitue paradoxalement un merveilleux passage à la croissance personnelle et à l’action.
Ces paresseux violents qui se mettent à travailler …
«Y’a rien de tel qu’un paresseux qui se met à l’ouvrage». Nous sommes tous si faciles à manipuler pour une poignée d’argent!
«Ça presse ou ça paresse»
Il suffit DE PRENDRE LE TEMPS, de prendre le temps de regarder l’immensité ; de prendre le temps d’apprécier tout ; de prendre enfin le temps … de s’approprier le temps …
Face à l’éternité, ce qui vaut pour l’humain vaut également pour l’animal.
À LA DÉFENSE DES ANIMAUX
Nos Sociétés du Profit et de l’Économie vont-elles à l’encontre des Lois de
Le Système actuel s’efforce absurdement, pour se maintenir en place, de nous détourner de toute contribution originale !
Il nous faut changer radicalement les idéologies actuelles (du profit, de la compétition et de l’économie anti-fraternelles et sauvages) imposées à tous par d’autres enfin basées sur le partage, l’égalité, la coopération et l’épanouissement de tous!
LIBÉRER DU TRAVAIL
De nombreuses études démontrent que les gens préfèrent moins travailler pour vivre mieux !
POUR POUVOIR PARESSER un jour : on est prêt à s’exclavagiser et à se trahir les uns les autres, à ramper, à s’endetter, à se conformer, à sacrifier son présent pour un illusoire avenir… et à bien d’autres bassesses! Se rendre compte de toutes ces aberrations qu’on ne cesse de défendre et qui ne profitent à personne finalement.
Le travail est une valeur-refuge de cette soumission aux aléas des valeurs des dominants technocrates et financiers. Le travail comme drogue et somnifère. Le chômage comme pour justifier le travail.
Qui a laissé aux Compagnies, le pouvoir de s’arroger les droits des communautés ? Les riches et les Entreprises, tous s’unissent pour exploiter la masse : pas pour la protéger ni l’aider !
Le Big Business nous fait croire que les Affaires doivent se faire en dehors et sans la conscience de la société.
«Une société qui admet le Profit comme base : légalise le crime et nous force tous à mal agir».
Nous sommes tous contraint soit à travailler ou à passer pour un paresseux ! «Je mérite plus que ces paresseux, plus que ceux qui ont des moins bonnes notes,…» ; «Je fais des efforts et je m’endette et je mérite plus». Personne n’est plus paresseux, plus vaillant, ou meilleur que les autres ou plus monnayables… car personne n’a les mêmes besoins en même temps
Le chômage structurel n’est que la réapparition du loisir dans un système qui se refuse à nous reconnaître hors de la productivité. On est plus qu’une valeur marchande ou d’économie.
Et les opportunistes, les profiteurs, les suiveux et les peureux … passent pour des gagnants, des travaillants, des gens corrects et ils se permettent de mépriser tous ceux qui ne se conforment pas comme eux --- > Ils jalousent ceux qui n’ont pas sacrifiés leur liberté pour des miettes de dollars et des pitances de confort!
Le travail ne pourvoit pas nécessairement au développement des personnalités ni à la diversité des intelligences, ni aux capacités physiques, pas plus à une vie morale ou à une vie d’amour,…
TELS DES ESCLAVES D’ESCLAVES. On se contente de miettes d’emplois (temps partiel), d’une vie médiocre, d’idéaux et de rêves qui ne nous appartiennent pas,
Les élites (travailleurs sociaux et spécialistes) gourmandes. Ils utilisent les exclus, les marginalisés comme bouclier et pour se créer un emploi. C’est l’attitude des gagnants à l’égard des perdants comme s’il s’agissait de PIONS que l’on peut sacrifier à un intérêt supérieur.
Ne doivent travailler que ceux qui sont conscient de ce qu’ils sont et de ce qu’ils font. Le travail est un choix libre et un don de soi à la collectivité !Évitons de voir des gens qui travaillent en robots et qui n’aiment pas ce qu’ils font : qui voudraient manger un repas fait par un cuisinier remplit de mépris ou qui se sent obligé de travailler ?
Les paresseux et les profiteurs ce ne sont pas les gens sur l’Aide Sociale ni les pauvres, mais ceux qui les créent et en vivent ; ceux qui nous vendent aux multinationales ; ceux qui nous endettent à coup de diplômes bidons et sans garanti d’emploi. Il ne faut pas s’en prendre aux malades, mais à ce et à ceux qui rendent malades ; pas aux ignorants, mais à ceux qui désinforment et maintiennent dans la dépendance et l’ignorance ; pas aux drogués, mais aux contextes sociaux et aux valeurs déshumanisantes imposés à tous.
Notre (devoir de citoyen) travail est de remplacer un Système qui nous ignore et nous détruit pour la mise en place d’un Système fait par et pour nous enfin
Bien sur, on ne parle pas ici de la paresses des exploiteurs qui veulent le monde entier pour une somme dérisoire. «Y’a rien de tel qu’un paresseux qui se met à l’ouvrage».
Nous sommes tous si faciles à manipuler pour une poignée d’argent!
Il ne faut pas s’en prendre aux malades, mais à ce et à ceux qui rendent malades ; pas aux ignorants, mais à ceux qui désinforment et maintiennent dans la dépendance et l’ignorance ; pas aux drogués, mais aux contextes sociaux et aux valeurs déshumanisantes imposés à tous ; pas aux violents mais à ce et ceux qui rendent violents-frustrés parce que déçus de ce monde.
Nous avons tous passés par les filtres scolaires du néolibéralisme (domination des Monopoles --- Privé). Tous, enfants, nous avons faits des efforts considérables d’études pour un jour en profiter et hélas, le capitalisme bavard ne tient que rarement ses promesses.
réalisé par Viny R.G. mon e-mail soleilpourtous@hotmail.com
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