lundi 20 octobre 2008

LES PAPESSES

Les responsables de la dépopulation mondiale par les guerres/contamination/crises financières ..... et des holocaustes juifs et génocides africains actuels: Londres, le CLERGÉ et la Droite Religieuse fasciste dans toutes les grandes Religions actuelles.....

Tous les soirs, soeur Pasqualina et le Pape Pie X11 priaient ensemble pour qu'Hitler gagne la guerre....

En emmenant le pape mourant à l'hôpital dans la limousine, elle dit ''Je suis près de l'homme que j'aime, il va mourir, cet homme c'est le pape....''

Pascalina surnommée sarcastiquement “La Popessa”

Cette longue relation si soigneusement protégée de Pascalina avec Pie XII l’avait contrainte à mener une vie de secrets et de mystères. Même après vingt ans passés à partager les appartements du pape, peu de gens à l’extérieur du Vatican soupçonnaient même son existence. Mais à l’intérieur du palais papal, on l’appelait, non sans irrespect, “la Popessa”. Elle était aussi redoutée que haïe par la hiérarchie de l’Église.
Certes, son nom et sa présence restèrent-ils toujours anonymes, mais son influence sur le pape était souvent plus importante que celle de quiconque au Vatican. C’était d’autant plus remarquable que jamais elle n’oublia sa vraie place, toujours dans l’ombre de Pacelli. Elle se maintenait infailliblement à son côté, car elle savait qu’il tenait à elle et qu’elle comptait beaucoup pour lui. Il l’avait toujours maintenue près de lui au Vatican contre l’avis et les pressions du Sacré Collège des cardinaux.


Tous les cardinaux étaient jaloux de soeur Pasqualina, la servante et amoureuse du pape Pie X11.









Toutes les reines d'Angleterre sont aussi des papesses puisque les rois et les reines sont les CHefs de l'Église Anglicane
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La papesse Jeanne est une femme qui aurait usurpé la papauté catholique en cachant sa véritable identité sexuelle. Son pontificat est généralement placé entre 855 et 858, c'est-à-dire entre celui de Léon IV et Benoît III, au moment de l'usurpation d'Anastase le Bibliothécaire.


Jeanne Ire de Naples (1326-1382), dite la reine Jeanne, reine de Naples et comtesse de Provence
http://accel21.mettre-put-idata.over-blog.com/0/00/35/40/03-2008/papesse02.jpg

Vers 850, une jeune fille originaire de Mayence — nommée Jeanne, quitte sa famille pour entreprendre des études, ou pour suivre son amant étudiant[2]. Déguisée en homme, elle est connue sous le nom de Johannes Anglicus (Jean l'Anglais)[1], ce qui dénote une origine anglaise[2]. Elle étudie dans une université anglaise puis, après avoir obtenu son baccalauréat, part avec son amant étudier la science et la philosophie à Athènes[1].

Après la mort de son amant, elle se rend à Rome où elle obtient un poste de lecteur des Écritures saintes[3] avant d'entrer à la Curie. Selon certaines sources, elle est nommée cardinal. Tous s'accordent pour dire qu'elle est élue pape par acclamations, le peuple romain appréciant son érudition et sa piété[3]. Deux ans plus tard, la papesse, séduite par un simple clerc ou par un cardinal plus clairvoyant que les autres, accouche en public : en célébrant la messe, ou à cheval, ou encore pendant la procession de la Fête-Dieu, entre la basilique Saint-Jean-de-Latran et la basilique Saint-Pierre. Selon le chroniqueur dominicain Jean de Mailly, elle est lapidée à mort par la foule ; selon Martin le Polonais, elle meurt en couches ; selon d'autres encore elle est simplement déposée[3].


Y-a-t-il un lien


La reine Jeanne, comtesse de Provence et souveraine de Naples, ayant été absoute de peine et de coulpe par le pape, après l’assassinat de son premier époux André de Hongrie, elle le remercia en donnant fiefs et dignités à sa famille. Ce fut dans ce cadre qu'elle nomma le vicomte de Turenne Grand Chambellan de son royaume de Sicile en 1351, puis qu'en janvier 1352, elle lui concéda les seigneuries de Pertuis, les Pennes, Meyrargues et Séderon.

Ce fut son oncle, Hugues Roger, le cardinal de Tulle, qui lui offrit entre 1351 et 1353 ses autres seigneuries dans le Languedoc et le Velay.




pape Jean VIII

« papesse Jeanne » donné à la maîtresse autoritaire du pape Jean XI, Marozie

L'accouchement de Jeanne, gravure ornant le chapitre que Boccace consacre
à la papesse dans ses Dames de renom
L
Alors que l’islamisme bouleverse nos sociétés, une femme qui devient papesse au moment où l’Islam attaque l’Occident, une destinée magnifique et singulière, une superbe histoire d’amour actuellement tombée dans l’oubli.

Et ceux qui prétendront que ce n'est qu'une légende: alors pourquoi le Vatican oblige-t-il tous ses nouveaux papes à s'asseoir sur un bol de toilette aménagé de sorte qu'on puisse y vérifier si le futuer pqape a des testiciles ou est une femme ?

Car l'aventure contraint depuis l'Église à procéder à une vérification rituelle de la virilité des papes nouvellement élus[4]. Un ecclésiastique est censé examiner manuellement la chose, au travers d'une chaise percée. L'inspection terminée, il peut s'exclamer « Duos habet et bene pendentes » (« il en a deux, et bien pendantes »). De plus, les processions pontificales, pour éviter de remuer des souvenirs douloureux, évitent désormais de passer par l'église Saint-Clément, lieu de l'accouchement, dans leur trajet du Vatican au Latran ; cependant, une statue installée à l'endroit fatidique commémore l'incident[4].

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Autre papesse

Marozie, née Maria et également connue comme Mariuccia, Mariozza ou Marousie de Tusculum (vers 890-932/937), fille de Théophylacte et Théodora Ire l'Ancienne, était une femme noble romaine qui fut, dit-on, la maîtresse du pape Serge III et à qui le pape Jean X donna les titres de senatrix (« sénatrice ») et de patricienne de Rome, ce qui ne s'était jamais vu auparavant.


Selon Liutprand de Crémone et d'autres chroniqueurs pro-formosiens, elle eut de Serge III un fils qui devint le pape Jean XI (906-936). Elle illustra la théorie de la pornocratie.


Comme une femme d'un roi est une reine:

alors une femme d'un pape est une papesse

car il y eut des époques où les papes pouvaient se marier

Marozie naquit vers 890. Elle était la fille du consul romain Théophylacte, comte de Tusculum, et de Théodora, qui détenait à Rome le pouvoir réel ; Liutprand de Crémone parle d'elle comme d'une « prostituée éhontée... [qui] a exercé le pouvoir comme un homme sur l'ensemble des citoyens romains ».

À l'âge de quinze ans, elle devint la maîtresse de Serge III, cousin de Théophylacte, dont elle avait fait la connaissance quand il était évêque de Porto. Tous les deux eurent un fils, Jean (le futur pape Jean XI). C'est du moins ce que l'on trouve dans deux sources contemporaines, le Liber Pontificalis (commencé en 500, il comporte des biographies jusqu'à Pie II, décédé en 1464) et les Antapodosis sive Res per Europam gestae (958-962) de Liutprand de Crémone (c. 920-972). Mais une troisième source contemporaine, l'annaliste Flodoard (c. 894-966), donne Jean XI comme le frère d'Albéric II, qui était le fils de Marozie et de son mari Albéric Ier. Par conséquent Jean XI peut lui aussi avoir été leur fils.

En tout état de cause, Marozie épousa Albéric Ier, duc de Spolète, en 909, et leur fils Albéric II naquit en 911 ou 912. Finalement, Albéric Ier fut tué à Orte en 924 et les grands propriétaires romains avaient ainsi remporté une victoire complète sur la bureaucratie traditionnelle représentée par la curie papale. Rome était pratiquement sous contrôle laïque, c'était historiquement le nadir de la papauté.

Afin de contrer l'influence du pape Jean X (dont l'hostilité du chroniqueur Liutprand de Crémone fait un autre de ses amants), Marozie épousa ensuite l'adversaire du pontife, Guy de Toscane, qui aimait sa jolie femme autant qu'il aimait le pouvoir. Ensemble, ils attaquèrent Rome, se saisirent de Jean X au Latran, et l'emprisonnèrent au château Saint-Ange. Il se peut que Guy l'ait étouffé avec un oreiller en 928 ou tout simplement qu'il soit mort de privations ou de mauvais traitement. Après ce coup d'État elle prit le pouvoir à Rome. Les papes qui suivirent, Léon VI et Étienne VIII, ne furent l'un et l'autre que ses marionnettes. En 931 elle réussit même à imposer son fils comme pape, sous le nom de Jean XI, alors qu'il n'avait que vingt et un ans.


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1948, La reine Wilhelmine de Hollande abdique

Jamais on entend dire que des ÉGLISES ont été détruites par telles ou telles guerres; pourtant elles sont les monuments les plus élevés et les cibles par excellences pour quiconque voudraient faire réellement du mal....

Curieux que durant les guerres jamais le VATICAN ne fut touché ni même cette Cathédrale (St-Paul) à Londres en 1940.



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LE PAPE JEAN-PAUL 11

AVEC HITLER

Bill Coopers dans son livre "Behold a Pale Horse", écrit la chose suivante : "Au début des années 40, I.G. Farben engage un Polonais qui avait vendu du cyanure aux nazis. Ce vendeur avait même participé à l'élaboration du produit en tant que chimiste. Après la guerre, de peur d'être accusé de crimes de guerre, ce vendeur est entré dans l'Église catholique, il a été ordonné prêtre en 1946. Un de ses plus fidèles amis s'appelait Dr. Wolf Schmugner, celui qui a mis au point la campagne de vaccination contre l'hépatite B (pour donner le SIDA), entre novembre 1978 et octobre 1979, et entre mars 1980 et octobre 1981, à travers le Centre of Disease Control. Cette campagne a eu lieu à New York, à San Francisco et dans quatre grandes villes américaines, elle a sans doute contribuer à faire exploser le SIDA sur le continent nord-américain.

Ce vendeur de cyanure est devenu le plus jeune évêque polonais en 1964, et après les 30 jours de régence de son prédécesseur assassiné, il est devenu le pape Jean Paul II en 1978. Ce qui veut dire que 1990 était la bonne année, avec les bons dirigeants : l'ancien chef du KGB M. Gorbatchev, l'ancien chef de la CIA et membre du Comité des 300, George Bush, l'ancien vendeur de cyanure, jean Paul II , tous ensemble, composant la régence la moins en odeur de sainteté que l'on puisse imaginer sur le chemin du nouvel ordre mondial.

Quand les PAPESSES vont à Londres


Elizabeth Angela Marguerite Bowes-Lyon : Née le 4 août 1900 à Londres, décédée le 30 mars 2002 au Château de Windsor. Dame de la noblesse britannique devenue, par mariage avec Albert, Duc d'York (futur Roi George VI), Reine du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord, et Impératrice des Indes.







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