vendredi 20 février 2009

Palestine: propriété Britannique officieusement mais non officiellement

Palaestina - De l'Empire romain à l'Empire ottoman

Vers 61 B.C., les légions romaines de Pompée ont envahi Juda et mis Jérusalem à sac. Le pays passa sous contrôle romain. Les Romains l'appelèrent Judée. , Conformément à la foi chrétienne, Jésus Christ est né à Bethlehem dans les premières années de la période romaine. Les Romains ont maté les révoltes juives de 70 A.D. et 132 A.D. En 135, les Romains ont expulsé les Juifs hors de Jérusalem et appelèrent alors le pays Palaestina. Le nom de Palaestina, devenu Palestine en français, vient d'Hérodote, qui a employé le nom de Palaistine Syrie, "la Syrie philistine", pour parler de toute la région méridionale de la Syrie, La plupart des Juifs qui continuaient à pratiquer leur religion fuirent ou furent déportés de Palestine, formant une deuxième Diaspora juive. Cependant, des communautés juives continuèrent à exister en Galilée, au Nord de la Palestine. La Palestine a été gouvernée par l'empire romain jusqu'au quatrième siècle A.D. (300's) quand elle devient une partie de l'empire byzantin. Le christianisme s'est répandu dans la majeure partie de la Palestine. La population se composa de Juifs convertis au christianisme et au paganisme, de peuples amenés par les Romains, et d'autres qui avaient probablement toujours habité la Palestine.


Au septième siècle (A.D. 600's), les armées arabes musulmanes partant du Nord de l'Arabie conquièrent la majeure partie du Moyen-Orient, y compris la Palestine. Jérusalem est conquise en 638 par le Calife Omar qui place les habitants sous sa protection. Les puissances musulmanes ont régné sur la région jusqu'au début des années 1900. Les chrétiens et les juifs étaient autorisés à garder leurs religions mais graduellement la majeure partie de la population locale a accepté l'Islam et la culture Arabe-Islamique de leurs dirigeants. Jérusalem est devenue sainte aux yeux des musulmans comme l'endroit d'où, selon la tradition, Mahomet est monté au ciel après une chevauchée nocturne miraculeuse sur son cheval Al-Buraq. La mosquée d'Al-Aqsa a été construite à l'emplacement de ce miracle, sur un lieu généralement admis comme celui où s'élevaient les temples juifs.

Les Turcs Seldjoukides ont pris la ville de Jérusalem en 1071. Ils ont régné moins de 30 ans sur la Palestine. En 1098, les Fatimides, basés en Egypte, ont tiré profit des luttes entre les Seldjoukides et les croisés chrétiens venus d'Europe pour s'allier avec ces derniers et capturer Jérusalem, Jaffa et d'autres régions de la Palestine. Cependant, les croisés rompirent l'alliance et envahirent la Palestine un an plus tard, prenant Jaffa et Jérusalem en 1099. Un grand massacre des défenseurs juifs et musulmans suivit et aucun Juif ne fut plus autorisé à habiter Jérusalem. Les croisés gardèrent la ville jusqu'en 1187, quand Saladin attaqua la Palestine et conquit Jérusalem. En vertu du traité avec Saladin, les croisés conservèrent un domaine le long de la côte de la Palestine. Cependant, les croisés rompirent le traité avec Saladin ainsi que les traités ultérieurs lors de plusieurs croisades successives qui essayèrent en vain de reprendre Jérusalem. En 1291, les croisés ont été expulsés avec la prise d'Acre par les musulmans. Suivit alors une période où les croisés lançaient fréquemment des raids de pillage contre la côte de Palestine. Pour réduire au minimum les bénéfices de ces incursions, les gouvernants musulmans ont retiré la population des côtes et pratiqué une politique de la terre brûlée dont le résultat fut le dépeuplement et l'appauvrissement considérable de la côte de la Palestine pour des centaines d'années.

Au milieu du 13ème' siècle, les Mameluks, à l'origine des soldats-esclaves des Arabes, basés en Egypte, ont établi un empire qui, à terme, a inclus la Palestine. Les musulmans arabophones composaient la majeure partie de la population de la Palestine. Dans les dernières années 1300, des Juifs d'Espagne et d'autres régions méditerranéennes s'installèrent à Jérusalem et ailleurs dans la région. Les Ottomans battirent les Mameluks en 1517 et la Palestine devint une partie de l'Empire. Le Sultan invita les Juifs fuyant l'Inquisition espagnole à s'installer dans l'empire, y compris dans plusieurs villes de Palestine.

En 1798, Napoléon envahit la région. Cette guerre et la mauvaise administration des gouvernants égyptiens et ottomans qui suivirent, firent diminuer la population de la Palestine. Les Arabes et les Juifs sont partis pour des terres plus sûres et plus prospères

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Aussi, quand, en 1852, Napoléon III obtint la restitution de douze lieux saints de Palestine à l'Eglise catholique qui les avait perdus en 1808 au profit de l'Eglise orthodoxe, la diplomatie russe perçut le succès français comme une menace.

Au début de l'année suivante, le tsar proposa donc au gouvernement britannique un plan de partage de l'Empire ottoman excluant Napoléon III : l'Egypte reviendrait à l'Angleterre tandis que la Russie obtiendrait les Principautés roumaines, la Serbie, la Bulgarie ainsi que le contrôle des détroits. Mais le projet ne pouvait qu'échouer : le tsar négligeait la force des ambitions françaises, et surtout l'hostilité des Anglais comme des Autrichiens à l'avancée russe dans les Balkans. Après une nouvelle guerre russo-turque et la destruction de la flotte ottomane le 30 novembre 1853 à Sinope, la France et l'Angleterre entrèrent en guerre contre le tsar. La guerre de Crimée se poursuivit pendant plus de deux ans et aboutit à une débâcle russe. Le nouveau tsar Alexandre II, à la tête d'une Russie en net recul, consacra alors une bonne partie de son énergie à réformer son Empire, et renonça pour le moment à son expansion balkanique.

Le climat des années 1870 renoua en partie avec celui qui suivit le Congrès de Vienne : en 1873, une alliance des trois empereurs (Allemagne, Autriche-Hongrie, Russie) ayant pour but de réserver l'équilibre européen semblait rejouer la Sainte-Alliance.


LES HÉRITAGES BRITANNIQUES

IMPOSÉES À L'HUMANITÉ

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Christianisme celte, christianisme oriental

qu'est le CORAN

La "Egyptian Connection" et L'HISTOIRE DE L'ANGLETERRE
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Toutes les religions naissent dans un environnement où il y a des cultures et religions antérieures, déjà installées, donc elles les "récupèrent". Le judaïsme s'est inspiré des mythes et traditions égyptiens et babyloniens, le christianisme des coutumes païennes et des grecs, etc..

L’islam, le christianisme et le judaïsme furent la philosophie grecque

L’exemple le plus éclatant en est l’Âge d’Or espagnol.

Mais La vérité, nous l’avons déjà. De quoi servirait la philosophie ??? Et encore pire la philosophie desservant la Droite ???


Le Missionnaires de l'Angleterre en Égypte et Asie centrale.

La Tradition du rituel du crucifix des mentalités des pirates/mercenaires/soldats qui se sacrifiaient pour leurs chefs..... Hélas ça continue

- Au IIIe siècle avant J.C., les Celtes (= les Gaulois) étaient présents jusqu’en Méditerranée orientale et avaient constitué un royaume des Galates dans l’actuelle Turquie.
Les Esséniens, attestés à partir du siècle suivant, étaient nés du mélange d’éléments hébraïques et du druidisme celtique. Ceux-ci avaient continué à avoir des rapports fraternels avec les représentants de la mère-patrie celtique (c’est-à-dire la France actuelle ainsi que les Iles Britanniques, peut-être étendue à l’Espagne «celtibère» où se trouve encore une «Galice»). Dans ce groupe était né Jésus, dont le nom est en vérité presque identique à l’Esus celtique. Après la crucifixion, lui ou sa famille s’étaient réfugiés en Gaule, où ils avaient trouvé un milieu extrêmement favorable pour la diffusion du message. De là vient la tradition de Marie-Madeleine en France, de Joseph d’Arimathie (qui était probablement un membre de la même fraternité, comme Nicodème et Lazare) et des récits celto-chrétiens du Graal.

Comme on le sait, de nombreuses études tendent à placer Jésus dans le milieu des Esséniens. Ces derniers étaient d’un coté une sorte de secte hébraïque, de l’autre des médecins et des étudiants; ils se vêtaient de blanc, et au culte hébraïque ils semblaient ajouter des éléments d’un culte solaire. Leur présence est attestée en Palestine à partir du IIe siècle avant J.C.




M I S S I O N N A I R E S
E S P I O N S
DE TOUTES LES RELIGIONS

Le christianisme romain doit, dans une grande mesure et par l'entremise des missionnaires anglo-saxons, son goût pour la mission (GUERRIÈRE) à la tradition irlandaise, importée dans le nord des îles britanniques au VIIe siècle.


Le christianisme irlandais ou 'christianisme celtique' est une pratique du christianisme qui se développa en Irlande puis en Écosse et en Angleterre, ... entre autres à la suite de l'évangélisation par saint Patrick au Ve siècle. La croix celtique est le symbole caractéristique du christianisme irlandais.

Autant les Évangiles de Lindisfarne que le Livre de Kells furent les produits d'une période formatrice dans l'histoire anglaise et irlandaise, quand trois forces distinctes furent en compétition pour façonner l'art et la culture de la région. La première de ces forces fut les traditions païennes des Angles et des Saxons, hommes des tribus germaniques du nord-ouest de l'Europe qui arrivèrent dans le sud de Bretagne à la suite du retrait des légions romaines au Vè siècle. Ils se sont frayés un chemin vers le nord, en tuant, expulsant, repoussant vers l'ouest les fermiers celtiques bretons qui avaient vécu là depuis des millénaires.

Ces nouveaux venus du Continent renommèrent le paysage, les villes et la plupart des rivières avec des mots de leur propre langue de telle manière que seule une poignée de mots bretons pré-anglo-saxons - tels que mattock, brock, bannock - demeurent en anglais moderne.


Au temps de l'enluminure des Évangiles de Lindisfarne, autour de 700 après J.-C., ce monde païen était cependant soumis à l'intense pression de deux groupes rivaux de missionnaires chrétiens venus de directions différentes.

Une de ces missions venait des moines celtes d'Irlande qui faisaient leur chemin vers le sud et l'ouest à partir de leur base, l'abbaye d'Iona sur la côte occidentale de l'Écosse. Celle-ci fut édifiée en 563 par un prince irlandais, Saint Colomban, qui fonda des monastères à travers ce qui est maintenant l'Irlande, l'Écosse et le nord de l'Angleterre. Lindisfarne fut fondé par un de ses disciples, Saint Aidan en 635 après J.-C.

À partir du début du Vè siècle, quand les légions romaines abandonnèrent la Grande-Bretagne, le Christianisme, religion impériale, avait en grande partie disparu également, se cramponnant seulement dans quelques communautés isolées d'Irlande et du nord de l'Écosse.


À cause des guerres. pendant prés de cent ans, la Chrétienté occidentale survécut en partie en se cramponnant dans des lieux comme les cimes des rochers battus par la mer de Skellig Michael, sur la houleuse côte sud-ouest de l'Irlande.
Là, les moines celtes apprirent à écrire le latin, et copièrent les manuscrits des anciens auteurs classiques. Ils savourèrent leurs nouvelles traditions de culture écrite et suscitèrent une renaissance de l'enluminure des livres et des commentaires érudits faisant appel aussi bien à Virgile qu'aux sermons de saint Jérôme et aux Vitae Patrum (les Vies des Pères du Désert). Parmi cette floraison de créativité, ils conçurent de nouvelles graphies qui devinrent la forme d'écriture commune dans l'ensemble du Moyen âge, produisirent des objets sacrés complexes, et enluminèrent des Évangiles qui font partie des plus grands chefs-d'œuvre de l'art médiéval. La complexité théologique de ces ouvrages est telle que les chercheurs commencent tout juste à saisir leur réelle sophistication.
Pendant ce temps, une seconde mission, cette fois venue de Rome, était arrivée au siège à Canterbury du royaume du Kent, au sud-est de l'Angleterre, en 567 après J.-C. - vers le moment où le roi guerrier de Sutton Hoo était en train d'être inhumé avec son navire.

La croix de Ruthwell
Ce monument date du début du VIIIe siècle et fait presque cinq mètres de haut. Il constitue le programme iconographique le plus étendu parmi tous les monuments de la même période dans toute Europe. Ce Rituel de crucifix et d'images liturgiques et d'anciens poèmes anglais sont les rêves guerriers du ''sacrifice humain (qu'es t le soldat)'' par la tradition du crucifix... La croix se dresse aujourd'hui dans une petite chapelle du XVIIIe siècle dans un minuscule village reculé dans le sud-ouest de l'Écosse.

Il y a par exemple une insistance particulière sur le culte de la vierge

L'ÉGYPTE ''COPTE'' C'EST L'ÉGYPTE DES CHRÉTIENS
Les Coptes considèrent la visite du Christ comme une bénédiction. C'est en effet, en Égypte sur les bords du Nil que la Sainte Famille est venue s'exiler jusqu'à la mort d'Hérode.
Aujourd'hui les Coptes représentent environ 6 à 7 millions de personnes. Ils sont la minorité chrétienne la plus nombreuse du Proche-Orient. . . Ils ont joué un rôle important dans la lutte contre le colonialisme britannique mais en réalité ils étaient des pions arabes au compte de l'Angleterre.. Les coptes d’Egypte, descendants des pharaons, ont une longue histoire. Mais les ambiguïtés de l’Etat et l’islamisation croissante ont suscité chez eux crainte et repli. Pourtant, leurs problèmes sont le reflet de la crise de l’ensemble de la société, de ses impasses et des réticences de ses dirigeants d’engager l’Egypte dans la voie de l’ouverture politique et culturelle.

Pays héritiers et témoins de la primitive Eglise

Le Christianisme fut introduit en Egypte par la Sainte Famille elle-même, fuyant Hérode, puis par la prédication de l'évangéliste Marc, vers 43-48, Christian Cannuyer, historien et orientaliste.
L'Eglise née avec lui à Alexandrie rassemble aujourd'hui plusieurs millions de fidèles, à la foi vivante et pure, qui emploient encore dans leur liturgie la langue copte, dérivée de l'égyptien ancien, viennent prier dans des églises et des monastères fondés au IVe siècle par les Pères du désert - Paul de Thèbes, Antoine, Pachôme - et se rassemblent lors de fêtes et de pèlerinages dédiés au Seigneur, à la Mère de Dieu, aux saints et aux martyrs.



La croix montre un vif intérêt pour le mouvement monastique de l'Égypte copte. C'est avec passivité que les Coptes ont accueilli les ENVAHISSEURS MULSULMANS en 639. L'Empereur Constantin a décrété a liberté de croyances en 391, et son successeur, Théodore, a imposé le Christianisme à son peuple comme ''religion d'État''.


La décoration de la croix est aussi profondément enracinée dans la culture anglo-saxonne locale.

"Le rêve Britannique du Crucifix" OU PLUTÔT "Le CAUCHEMARD du Crucifix"

Les portraits des Évangélistes empruntent à des modèles italiens et byzantins, et de la variété géographique des influences méditerranéennes tournés vers les plus lointains déserts égyptiens

Très certainement, les premiers moines de Grande-Bretagne et d'Irlande ont volontairement considéré Saint Antoine d'Égypte comme étant leur idéal et archétype, une inspiration qui fut reconnue par leurs contemporains: dans une lettre adressée à Charlemagne, le savant northumbrien Alcuin de York décrivit les moines irlandais comme des "pueri Egyptiaci". La plus grande fierté du monachisme celtique était, selon les termes de l'Antiphonaire de Bangor :

Cette maison emplie de délice

Est bâtie sur le roc
Et en effet la vraie vigne
Qui fut transplantée d'Égypte.

L'un des premiers Évangiles insulaires connus, l'Évangile de Cuthbert, est relié et cousu selon un usage copte spécifique, ce qui révèle selon Michelle Brown "de fait un processus d'apprentissage" établissant un lien entre l'Égypte et la Northumbrie.


Le même processus est évoqué dans le Livre des Kells, qui contient une image de la Vierge allaitant l'enfant Jésus, clairement copiée d'une originale copte: la virgo lactans était un thème iconographique spécifique de la tradition copte, emprunté aux images pharaoniques d'Isis allaitant le nourrisson Horus.

Il a récemment été prouvé que la haute croix irlandaise (ou croix celtique), symbole du Christianisme celtique, est une invention copte, qui a été représentée sur des draps mortuaires coptes du Ve siècle, soit trois siècles avant que ce motif n'apparaisse en Écosse et en Irlande .


Une accumulation croissante de preuves suggère que les contacts entre la Méditerranée (Pays arabes) et la Grande-Bretagne chrétienne des premiers temps étaient étonnement fréquents. Des poteries égyptiennes - qui contenaient sans doute à l'origine du vin ou de l'huile d'olive - ont été trouvées lors des fouilles au château de Tintagel en Cornouailles, le supposé lieu de naissance du roi Arthur, tandis que la Litanie irlandaise des Saints rappelle "les sept moines d'Égypte [qui vécurent] à Disert Uilai" sur la côte ouest irlandaise.

L'ANGLETERRE INFLUENCÉE PAR L'ÉGYPTE

Des guides de voyage en circulation dans les premiers temps de la Grande-Bretagne chrétienne offrent un compte-rendu sur les monastères égyptiens. De fait, les pèlerinages autour de la Méditerranée étaient devenus tellement courants que Saint Boniface écrivit à l'archevêque de Canterbury pour qu'il interdise "aux matrones et aux nonnes d'entreprendre" de tels voyages car "nombreuses sont-elles à périr et peu conservent leur vertu. Il y a de nombreuses villes en Lombardie et en Gaule où il n'y a pas une seule courtisane ou prostituée qui ne soit de descendance anglaise".

Les Populations à majorités musulmanes de longue date sont : l'Égypte, l'Indonésie, la Jordanie, le Nigéria, le Pakistan et la Turquie.

Les Musulmans britanniques et nigérians sont les plus fortement aliénés. La Grande-Bretagne présente une image très paradoxale.


POURTANT ....
DES MUSULMANS BRITANNIQUES (EX-MILITAIRES.....)

Les Musulmans sont nombreux à nourrir des préjugés contre les Juifs, de 28% d’avis défavorables parmi les Musulmans français à 98% en Jordanie (où, si la monarchie est modérée, la population est majoritairement arabo-palestinienne). En outre, les Musulmans de certains pays (surtout l’Égypte et la Jordanie) considèrent les Juifs comme des conspirateurs, responsables des mauvaises relations entre Musulmans et Occidentaux.

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DE TOUT

Sainte Anne est la sainte patronne de Florence, d'Innsbruck, de Naples, de la Bretagne et de la province de Québec.
En breton, sainte Anne est surnommée « Mamm gozh ar Vretoned », c’est-à-dire la grand-mère des Bretons. Elle aurait été originaire de Plonévez-Porzay. Anne aurait été mariée à un seigneur cruel et jaloux, qui lui interdisait d’avoir des enfants. Lorsqu’elle tomba enceinte, il la chassa du château de Moëllien. Son errance avec la petite Marie la conduisit en Galilée. Bien des années plus tard, Marie épouse Joseph et devient la mère du Christ. Anne revient en Bretagne pour y finir sa vie dans la prière et distribue ses biens aux pauvres. Toujours selon cette légende, le Christ vient lui rendre visite, accompagné de ses disciples Pierre et Jean, et lui demande sa bénédiction, avant de retourner en Terre sainte.

PÈLERINS MAÇONS
Une statue est érigée dans ce lieu et est nommé Sainte-Anne-d'Auray. Sainte Anne est devenue patronne des Bretons et le pardon qui s'y déroule chaque année est le plus important de Bretagne, 3e lieu de pèlerinage en France après Lourdes et Lisieux.
Les premiers convertis par saint Patrick ont été le roi et la cour de Tara, nous imaginons qu'ils en avaient d'abord trouvé les avantages d'assagir leurs citoyens pour une gouverne facile... La première conséquence a été l'apparition d'une littérature, religieuse d'abord, en latin et en gaélique, puis la mise par écrit des vieilles légendes nationales. Mais les plus anciens témoignages de l'existence de l'irlandais, dus à des moines, proviennent du VIIe siècle et sont des gloses dispersées dans toute l'Europe. La plus ancienne homélie irlandaise, datée de 636, est à la bibliothèque municipale de Cambrai, cependant que les principales gloses du vieil irlandais sont à Saint-Gall en Suisse, à Milan en Italie et à Würzburg en Allemagne.

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Le Christianisme est le produit de quatre cultures distinctes, dont chacune a apporté sa contribution spécifique:

(1) la celtique, remontant directement à Jésus mais aussi probablement aux Esséniens et au «bain» initial en terre gauloise – d’où non seulement le cycle suivant du Graal, mais aussi les influences «indo-européennes» déjà reconnaissables dans les Evangiles, dont par exemple la parabole des vierges qui devaient garder l’accès du feu dans l’attente de leur époux: c’est le concept des «épouses du Soleil», que nous retrouvons dans les Vestales romaines mais aussi chez les Incas; ou encore la référence aux «portes de l’Enfer» (concept astronomique présent dans Homère ainsi qu’en Inde et en Iran) et les clés d’or et d’argent de Pierre, d’où le drapeau jaune et blanc du Vatican.

(2) l’hébraïque (évidemment; peut-être due plus à Pierre qu’à Jésus lui-même; du reste nous connaissons bien la faible sympathie qui s’est maintenue entre juifs et chrétiens jusqu’à l’époque actuelle);

(3) la grecque (avant tout chez les Pères de l’Eglise; mais nous pensons aussi à des concepts comme «tendre l’autre joue», concept socratique encore plus qu’évangélique, repris mot à mot dans le Gorgias de Platon, ou au tout aussi socratique «calice amer»);

(4) la romaine (le droit et les institutions ecclésiastiques).

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FEU DE LA ST-JEAN
Bûcher dont les flammes sont une célébration de la lumière qui, en cette époque du solstice d'été, nous donne les plus longues journées de l'année.
La fâille, dont les origines remontent à la plus haute antiquité, est une coûtume ancestrale ressuscitée

Les fêtes païennes, du fait même qu'elles étaient païennes, étaient des fêtes religieuses! Le paganisme est aussi une religion.
LE CULTE de saint Jean-Baptiste

La fâille au Crêt de Chambellon








La fâille au Crêt de Chambellon Il y a trois mille ans (et probablement bien avant encore), les Celtes célébraient déjà la lumière de cette manière; leur habitude d'allumer des brasiers sur les sommets se perpétue, par exemple, dans la fête nationale suisse.
L
es Romains eux aussi fêtaient le solstice d'été par de grands brasiers; en Ligurie, où au moins deux montagnes portent le nom d'un dieu solaire, la tradition s'est perpétuée de façon quasi ininterrompue depuis la nuit des temps.

La date du feu de joie païen variait selon la tradition locale; certains allumaient le bûcher au printemps, comme célébration du renouveau, d'autres attendaient le solstice d'été. La pratique de sauter par dessus les braises une fois que la fâille s'est effondrée, viendrait plutôt d'un ancien rite de purification associé à la fête du printemps.
La civilisation judéo-chrétienne s'est adaptée au culte païen en intégrant ses plus fortes célébrations fixées d'après le calendrier solaire. Ainsi, ce n'est pas du tout un hasard si la naissance du Christ est fêtée au solstice d'hiver ( le 24 décembre, le jour le plus court de l'année; on y brûle par ailleurs une bûche de La fâille au Crêt de ChambellonNoël, qui ne manque pas de rappeler le feu de joie du solstice d'été...) Saint Augustin, dans un sermon précise : "A la naissance du Christ le jour grandit, tandis qu'à la naissance du précurseur (Saint-Jean Baptiste), dernier prophète, il diminue".

Dès le temps de Clovis (fin du Ve siècle), on transformera la tradition du feu de joie en célébration de la naissance de Saint Jean Baptiste, celui qui a baptisé le Christ qui sera "la lumière du monde" ... d'où le lien le plus évident avec le solstice d'été et le feu de joie.
De nos jours, l'on fête la Saint Jean de la péninsule ibérique jusqu'en Lituanie. Cette célébration peut servir à nous rappeler un héritage BRITANNIQUE européen commun que nous partageons tous depuis des millénnaires.

La parole de Jean le Baptiste, rapportées dans l'évangile selon saint Jean: "il faut que je décroisse pour qu'il croisse".,, On pourrait appliquer cette parole en la suggérant à LA COURONNE D'ANGLETERRE de laisser de la place et de la vie aux humains.
























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