mercredi 22 avril 2009

PROPAGANDES BRITANNIQUES : PAR LE SPORT, LE MÉRITE, L'ÉQUITÉ, LA CONCURRENCE.....

L'Ordre des médecins ÉLITISTES aura beau tenter de nous faire croire que LES SOINS DE SANTÉ SONT GRATUITS: c'est faux car ils sont de plus en plus inaccessibles, la majorité des citoyens n'ont pas accès à un médecin de famille car il y aurait pénurie de médecins......

MARINE BRISATANIQUE et son CACApipiTATAlisme

Des firmes britanniques offrent des contrats pour faire du terrorisme en sous-traitances. Et comme cela, l'Armée Anglaise ne risque jamais d'être suspectée de semer sciemment le CHAOS dans certains Pays pour y justifier l'Armée ou pour voler ces pays et que leurs médias n'y voient que du feu et PAS LES ÉVIDENCES que LONDRES FAIT TOUJOURS LE COMMERCE INTERNATIONAL DES DROGUES via son G-20 (pays conquérants) et leurs pays Trafiquants (des achetables bozos et des malheureux qu'on retrouve dans tous ces pays appauvris et qui sont prêts à faire du mal aux autres pour un peu d'argent, un job, ou leur consommation de drogues)

Dès qu'on commence à monter dans ce système, des groupes (sociétés secrètes, religions....) nous accostent fréquemment voir avec harcèlement (intimidations subtiles) pour nous embrigader dans leurs gamiques afin de contrôler nos agissement que dans leurs sens.... Alors les peureux et opportunistes se laisseront convaincre et entreront dans les Chevaliers de Colomb, dans les Rose Croix, dans les Clubs (Rotary, Lions....)......

Contre le sport, je suis pour les activités de découvertes, de randonnées en forêts, de faire de bonnes marches......

Il y a une énorme différence ente le sport qui montre malicieusement aux enfants à se compétitionner, et le fait de faire des activités de découvertes et des randonnées en groupes ....


TYPES DE PROPAGANDES


La première est dirigée vers les amis, ce que les membres du groupe précédent nomment Action psychologique, et la dernière vers l’ennemi, ce que nous appelons Guerre psychologique

(1) Convaincre que l’on est dans son bon droit


(2) Stimuler l’esprit combatif

De fait, les films d’action et d’aventures mêlant exotisme et romantisme trouveront toujours une place de choix dans le cœur du public. Ainsi nous citerons en préambule des œuvres classiques qui connurent un succès planétaire telles que Gone with the Wind (Autant en emporte le vent)13 , produit par la MGM et qui reçut dix Oscars et The Four Feathers (Les Quatre plumes blanches)14 , produit par London Films/United Artists qui fut également très bien accueilli par un public toujours demandeur de sensations fortes par acteurs et décors interposés.

Une question nous vient à l’esprit : les longs métrages répondent-ils à la demande d’un public belliqueux, ou bien ce dernier le devient-il à force de voir ces films ?

Tchakhotine nous rappelle en outre20 que l’exaltation des vertus guerrières n’est nullement le seul apanage des systèmes totalitaires, et que la jeunesse est très tôt formée à des activités sportives, considérées comme viriles, avant de glisser insidieusement vers une formation militaire qui n’ose s’appeler ainsi, du moins dans un premier temps. Lisant ces lignes, on a tout de suite à l’esprit les Jeunesses Hitlériennes, mais l’on oublie les scouts de Baden-Powell21 et les Préparations Militaires que la Troisième République mit en place après l’humiliation de 1870 face aux Prussiens.

La France n’aura jamais été autant « martiale » qu’entre 1870 et 1914 et il était inconcevable qu’une femme s’intéresse à un homme qui n’avait pas rempli ou n’était pas apte à remplir ses obligations militaires pendant la « Belle Epoque ». Le patriotisme allait de pair avec un nationalisme exacerbé et un militarisme sans limite. Toute l’œuvre de Charles Maurras nous le rappelle.

(3) Rassurer la population

Tout pays ou régime belliqueux a besoin de convaincre sa population.
Dans les autres pays, postiers, gardes frontières, policiers et comme de juste, militaires, chacun avait son uniforme, son rang et ses décorations bien visibles aux yeux de tous. Excellente propagande silencieuse et quotidienne que l’uniforme omniprésent dans les rues, au bureau et sur l’écran. De quoi ravir les passionnés d’uniformologie et de phaléristique.

Les nobles valeurs de l’honnêteté et de l’orgueil national unissant la monarchie au peuple étaient rappelées sans cesse, via une propagande passive et apparemment innocente montrant par exemple le bonheur (naissances, mariages) et les malheurs (décès) de la famille royale comme nous le souligne Renée Dickason, spécialiste chevronnée des médias et de la propagande britanniques

La presse, la radio et le cinéma étaient tous mis à contribution dans le cadre de cette croisade moderne visant à apaiser les doutes et rassurer sur le fait que l’on était dans son bon droit et que rien ne pourrait nous arriver de malheureux tant que le peuple se serrerait les coudes et aurait foi en ses dirigeants, ce postulat s’appliquant à l’ensemble des protagonistes pris en considération.

(4) Préparer la revanche

La revanche britannique faisant l’objet de propagande sous forme de films sera quant à elle, du moins au début de la guerre, cantonnée autour de la thématique de la riposte aux attaques aériennes dont le Royaume-Uni sera la victime. En effet, beaucoup de films auront comme sujets les bombardements anti-cités, la défense passive et ce qui sera qualifié de Bataille d’Angleterre. La perfidie des attaques odieuses et sans avertissements de la Kriegsmarine sera également traitée, dans une moindre mesure, il est vrai, par l’industrie cinématographique. Il est vrai que les combats aériens, plus spectaculaires avaient davantage les faveurs du public.
Ainsi The Lion Has Wings, docu-fiction de Alexander Korda (produit par RAF Film Unit en 1940) montre, comme l’indique le titre, que le lion - représentant l’esprit combatif des Britanniques toujours invaincus sur leur territoire, et personnifié par un Churchill pourtant plus souvent incarné par un bulldog qui ne lâchera jamais prise - s’est doté d’ailes, à savoir la RAF, et que cette dernière est prête à lutter jusqu’à la dernière goutte de kérosène, si ce n’est de sang des pilotes. Ce film utilisait des prises de vue réelles du ciel de la fameuse Bataille d’Angleterre où pilotes de chasseurs des deux camps s’affrontaient à l’instar des joutes médiévales. L’horreur des résultats (survivants grands brûlés) y était absente. Seul comptait le duel, extrêmement spectaculaire, on peut s’en douter.

L’idée était de montrer à la population britannique que le ciel qui les surplombait leur appartiendrait toujours tant que des aéronefs arborant la cocarde rouge-blanc-bleu43 continueraient d’abattre ceux qui portaient la croix des Balkans

(5) Dénigrer l’ennemi

Présenter l’adversaire comme étant inhumain
Confessions of a Nazi Spy, film américain d’Anatole Litvak et produit par Warner Bros. en 1939, deux années avant l’entrée en guerre de ce pays, avait pour vocation de créer une atmosphère de paranoïa totale et absolue en montrant des espions partout.

Cette utilisation sans vergogne d’espions et de traitres à outrance mettait en exergue la facette amorale de l’ennemi

(6) Ridiculiser le camp opposé


Ridiculiser le côté militaire et intellectuel de l’ennemi

Une grande quantité de longs métrages, nous le verrons, mettait en avant l’infériorité chronique de l’ennemi en matière d’espionnage et de contre-espionnage.

(7) Dénoncer la félonie de l’adversaire

Force sera de montrer qu’il n’y a rien de bon à tirer du camp opposé et que notamment leurs forces armées ne respectent en aucune façon les règles de la bienséance sur le champ de bataille.
Des règles implicites obligent, par exemple, un navire ennemi à secourir les naufragés de la marine adverse

Cette propagande britannique où comment Lord Northcliffe s’y était pris pendant les derniers mois de la Grande Guerre pour stigmatiser la monstruosité du soldat ennemi.


(8) Appeler à la haine en suscitant horreur et dégoût

L’industrie cinématographique avait déjà fait montre de toute l’horreur des champs de batailles de la Grande Guerre en laissant croire que l'ennemi n'était qu'Hitler et en oubliant qu'HITLER était financé et aliment par le Commerce International des Britanniques et des Américains.....


Ces films britanniques étaient la réponse du gouvernement pour empêcher tout soupçon envers la Couronne d'Angleterre et de sa participation passive et stratégique avec toutes les guerres.


(8) Faire rallier les neutres à sa cause




(9) Montrer que l’ennemi ne s’arrêtera pas là

Des films qui dénoncent la naïveté de ceux qui peuvent avoir confiance dans un traité de non-agression signé par des États bandits.....


(10) Solliciter de l’aide en mettant en avant son propre sacrifice

Les Britanniques, se disant les derniers défenseurs de la démocratie face à l’Allemagne nazie --- alors qu'ils avaient mannigancé tout cela ---- dès la fin de la Bataille de France (mi-mai à fin juin 1940), se trouvaient être le seul et unique rempart narguant encore la Wehrmacht

(11) Exhorter les neutres à choisir leur camp

Les Allemands tout comme les Britanniques se faisaient forts d’exploiter l’hostilité de l’étranger pour un ennemi commun. Nul ne pouvait être neutre. C'était la polarisation militaire: soit que tu étais du côté des ''bons'' ou de celui des ''méchants''.

La Grande Bretagne voulant se montrer comme le berceau de la démocratie à laquelle étaient liés, du moins culturellement, sinon idéologiquement alors qu'en même temps elle alimentait la GUerre MOndiale et fournissait armes et technologies à Hitler. Les Etats-Unis, ne seront pas en reste pour propagander la bonne parole pour amener ces derniers à rejoindre leur camp. Des films tels que Night Train To Munich, de Carol Reed (1940), In Which We Serve, de Noel Coward et David Lean, 49th Parallel, de Michael Bolton, Dangerous Moonlight, de Brian Desmond Hurst , tous trois de 1941 avaient comme but principal de




Un vent de panique souffle sur Hollywood, mais il sera de courte durée. En effet, le déclenchement des hostilités incitait les spectateurs à fréquenter les salles obscures et l’argent rentrait à flots. Jamais la popularité du cinéma n’avait été aussi grande. Le cinémaappelait à la guerre et la guerre nourrissait le cinéma.





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