(LES BOURGEOIS) La Couronne d'Angleterre alliée aux papes et aux pdg des multinationales mettent les Chefs de tous les États en place.
Les détruits et les déviés cherchent à détruire et à dévier..... V.E.
Des dépendants et obsédés sexuels, esclaves d'eux, depuis des siècles aussi nous ont esclavagisés.
Les Chevaliers GAIS qu'étaient les Templiers-banquiers et qui faisaient le voeu de Pauvreté afin de ne pas éveiller les soupçons sur leurs puissances financières établies en centaines de Commanderies Internationales tel UN ORDRE MONÉTAIRE MONDIAL
On peut accepter un taux orbitant autour de 3 % d’homosexuels, de lesbianismes et de bisexuels.
Et lorsque ce taux dépasse les 6 à 10 % comme actuellement : ça ne va plus si on veut éviter l’extinction de l’espèce humaine.
C’est le signe que des forces en place maintiennent ce phénomène dans des objectifs de Contrôle Démographique par des idéologies géopolitiques de non-reproductions des masses.. Ce qui est aussi anormal c’est lorsqu’il y a plus de 15 % DE BISEXUELS. Et là les différences d’âges y sont vraiment antinaturelles.
Ceci est triste que l'Iran pende des homosexuels
Cela nous montre l'inhumanité de la religion islamique.
Moi, je condamne moins l'homosexualité que les contextes écono-politiques qui le favorise a des fins de dépopulation mondiale, mais jamais je ne voudrais faire de mal à ces humains, et j'espère que les homosexuels comprennent bien pourquoi mes propos favorisent la famille et l'hétérosexualité car ils le savent bien que l'homosexualité n'est qu'une passade, un fantasme stérile, une mode passagère et guerrière qui doit être condamné moralement et non punitivement.......
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PÉDÉRASTIE PAPALE
Le Pape Alexandre V1 a payé pour que des gens commettent l’inceste
Les religions furent l’effet des fermentations d’États obligeant tout le monde à une vie guerrière
Au 11ème siècle, des associations telles les confréries religieuses avaient beaucoup de pouvoir et des droits et ces droits sont sémitiques (Juifs)
Les pervers réussissent à tout pervertir : l’éthique, l’humanisme, les valeurs fraternelles….
Les déviés et les détruits cherchent aussi à dévier et à détruire tout en affirmant qu'ils sont normaux
Parmi les plus grands tueurs en séries et qui étaient aussi GAIS : GACY et DALMER
80 % des tueurs sont des homosexuels ou homosexuels inavoués
Les groupes d’hommes et les groupes de femmes se sont si institués en parallèle : que de ces 20 000 ans de matriarcat et ces 4 000 ans de patriarcat qui ont suivis : aujourd’hui on se retrouve avec des sociétés fondées sur ces deux mouvements hétérophobes.
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POUVOIRS GAIS
Oui, les cités grecques étaient des clubs homosexuels.
À partir de PYTHAGORE, chez les filles, l’enseignement était lesbien : on en faisait des déesses lesbiennes de la culture. Ces demeures des jeunes adolescentes, disciples des Muses (des vieilles femmes) : il s’agissait de la haute éducation de lesbiennes.
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LES 3 POUVOIRS GAIS :
communautés de Religieux et de Religieuses,
le Militarisme,
le Féminisme.
Et qui peuvent oser imposer un contrôle démographique en empêchant les familles de se reproduire en les appauvrissant et en stérilisant des populations cibles: croyez-vous? Et oui, des homosexuels, car ils n'aiment pas la famille, ils n'aiment pas les enfants en générale.......
L'HOMOSEXUALITÉ est une anomalie, une déviance, c'est une négation de soi et de ses fonctions sexuelles pour la reproductions, c'est donc une violence à soi et aux autres, et évidemment que cela engendre des comportements anti-sociaux..... Et qui cherchent à s'élever au-dessus des autres: les déséquilibrés évidemment!
Ils nient leurs hétérosexualités.
Gais et lesbiennes, sachez que vous n’avez rien de plus ni ne faites rien de mieux que les hétérosexuels! Vous êtes restés au stade de l’adolescence : maturez un peu.. Sortez de vos jeux infantiles : évoluez.
Nier sa fonctions sexuelle dénote un grave désordre mental......
Pendant que les hétéros font un sexe propre, les HOMOSEXUELS n'ont que la voie rectale pour jouir et c'est cette perversions qui mène aux pires choses....
D'abord on s'habitue aux selles, et de la ''marde'' au sang et à la violence il n'y a qu'un pas......
L'HOMOSEXUALITÉ est anti-naturelle et UN MANQUE D'HYGIÈNE INACCEPTABLE: les matières fécales sont anti-hygiéniques et doivent être expulsés, et le rectum n'est pas et ne sera jamais un lieu normal pour avoir du plaisir. Par le rectum les GAIS cherchent en réalité lam voie vaginale, et les LESBIENNE en se léchant l'anus et en s'y enfonçant des gadgets en forme de PÉNIS évidemment, elles aussi recherchent en réalité l'autre sexe tout en s'imaginant compenser mais......
Plein de statistiques démontrent qu’il y a plus de violences chez les homosexuels que les hétéros ; qu’il y plus d’homosexuels qui jouent à des jeu de guerres sur les ordis …. Ce besoin de sang et de cruautés vient du fait de cette négation de soi et de ses fonctions sexuelles.
Les exclus souvent se vengent à s’extérioriser dans la violence et la décadence, ou pire encore : ils se diplôment pour exploiter, assujettir, humilier….. Devenus ‘’experts menteurs’’, ils se vengeront toutes leurs vies.
Les homosexuels ont souvent ce goût du combat, de se muscler, de cette virilité manquante compensée par un excès de fausse virilisation à travers la confrontation comme le sport de compétition et de combat. Cela paraît incroyable et pourtant tous peuvent le vérifier par eux-mêmes.
SEXE, VIOLENCES, GUERRES
A l'époque de
Le terme de "pédéraste" a été créé au XIXième siècle sur une racine grecque - païdes- désigant l'enfant. A l'époque de
Tout d'abord, le contexte même de cette civilisation qui est toujours en train de se battre, en interne (guerres entre cités-états) mais aussi contre des ennemis extérieurs très puissants (l'empire Perse de Darius et Xerxes). Les hommes sont fréquemment retenus loin de chez eux pour des durées plus ou moins longues, privés de femmes.
Les grecs antiques sont des marins et des guerriers, pas des danseuses d'opéra. La virilité, l'héroisme sont mis en avant. Même les éphèbes -jeunes hommes beaux et athlétiques- développenet cet aspect, dans la palestre (centre de fitness de l'époque) ou sur les champs de bataille
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Avant de parler de réformes, et s'agissant de la papauté, il serait bon de revenir un peu en arrière dans le temps, ce qui permet de comprendre un peu mieux la nécessité d'entreprendre une rénovation profonde des instances suprêmes de la chrétienté. N'oublions pas qu'au moment où de nombreux foyers de réforme monastique s'allument (voir mutations : les réformes monastiques), la papauté elle-même écrit une page sombre de son histoire, période dite de pornocratie, précédée elle-même de moments particulièrement malsains, résumons ces faits :
"Agiltrude nourrissait contre Formose, même mort depuis neuf mois, une haine inexpiable pour sa traîtrise manifestée par le sacre d'Arnulf en février 896. Elle obligea le pape Etienne VI, son successeur, à organiser un synode qui jugerait le pape défunt. Le cadavre desséché du vieux Pontife fut tiré de son sarcophage; on l'assit sur une chaise; un diacre se plaça à ses côtés pour répondre en son nom. L'Assemblée conclut à l'indignité de l'accusé, à l'irrégularité de sa promotion, à la nullité de ses Actes. La momie pontificale fut dépouillée de ses insignes, de ses vêtements, à l'exception du cilice incrusté dans le corps; on la jeta au Tibre. Le pape Etienne VI fut à son tour victime d'une insurrection à mi- 897; on le jeta bas du trône pontifical; on le déshabilla vivant pour le vêtir d'un froc de moine, on l'emprisonna puis on l'étrangla, ce fut le deuxième pape assassiné."
L’homosexualité fut une constante des sociétés guerrières : chez ces milieux d’hommes qui tendent à se refermer sur eux-mêmes.
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SOCRATE pédophile
La pédérastie était vu comme la forme la plus parfaite.
Autrefois, l’Éducation résultait d’un rapport étroit et profond entre le jeune ado et un aîné formateur qui était à la fois son éducateur, son aimant, son initiateur dans une flambée émotionnelle, son guide. Le rapport du maître à élève était de type Aimant/Aimé. L’Éducation était prétexte que les Aînés initient et virilisent les jeunes à l’homosexualité. Les mondains transmettaient des connaissances moyennant des faveurs sexuelles de mêmes sesez. La vie de combat était celle des homosexuels
, l’expert de l’éros (narcissisme homosexuel militaire) m attirait et retenait la jeunesse d’Athènes.
PLATON fut l’amant d’Alexis ou de Dion. Il affirmait que les liaisons mâles étaient plus fortes que celles des parents aux enfants.
ARISTOTE fut l’amant de son élève Hermias.
VERLAINE se vantait de faire des orgies avec RIMBAUD
Oui, les cités grecques étaient des clubs homosexuels.
Au Moyen-Âge , le compagnonnage des guerriers (les vieux qui avaient de jeunes adolescents comme amants). Cette homosexualité y était de type militaire. De ces clubs d’hommes d’autrefois aux Ordres (militaires) d’aujourd’hui.
La pédophilie à cette époque était dans les Lois, des groupes d’hommes musclaient, virilisaient et débauchaient des enfants de 7 et plus afin d’en faire des guerriers ‘’solidaires’’ de leurs groupes d’aimants… d’où la naissance des FRATERNITÉS GAIS
Les guerres ont développées l’inversion, des décadences et des structures permanentes qui les maintiennent encore aujourd’hui.
L’homosexualité fut une constante majoritaire des sociétés guerrières : chez ces milieux d’hommes qui tendent à se refermer sur eux-mêmes.
ARISTOTE ‘’L’EFFÉMINÉ’’ (Aristote était amoureux d’Hermias, un adolescent) a justifié l’esclavage en utilisant le principe de philosophie des droits naturels. Aristote croyait que l’esclavage était impossible à éliminer car selon lui il y avait des gens de nature esclave. Et ces natures d’esclaves…
La pédérastie généralisée est militaire.
Elle remonte et est liée à la tradition helléniste. La culture grecque éduquait sa jeunesse à l’homosexualité et dans la noblesse du combat . Le crime de l’hellénisme était l’hétérophobie. Le mot ‘’éthique’’ vient des la pédérastie militaire qui faisait le culte de l’homosexualité et de la nudité des garçons (patriarcat ou matriarcat = cités homosexuelles) Au Moyen-Âge , le compagnonnage des guerriers (les vieux qui avaient de jeunes adolescents comme amants). Cette homosexualité y était de type militaire. De ces clubs d’hommes d’autrefois aux Ordres (militaires) d’aujourd’hui.
Il y eut 20 000 ans de matriarcat, puis 4 000 ans de patriarcat. Maintenant, le matriarcat et le patriarcat sont ancrés solidement dans nos fondements sociaux à travers des milliers d’Organismes et de Communautés de religieux et de religieuses : bien protégés par les Armées, les Chartes, les Droits, les Institutions….. tous héritiers des régimes archaïques..
DE
Les sociétés matriarcales ont éduqué au lesbianisme tout en apprenant aux jeunes adolescentes tous les arts de la danse et de la coquetterie ; et les sociétés patriarcales ont enseigné l’homosexualité à travers le savoir, la virilité des garçons.
À partir de PYTHAGORE, chez les filles, l’enseignement était lesbien : on en faisait des déesses lesbiennes de la culture. Ces demeures des jeunes adolescentes, disciples des Muses (des vieilles femmes) : il s’agissait de la haute éducation de lesbiennes. Par nos corps de cadets et nos Forces Armées : ils perpétuent la tradition homosexuelle et lesbienne. Voilà le pourquoi du militarisme (c’est d’enseigner subtilement, en masculinisant hommes et femmes, les idéologies hellénistes des clubs homosexuels grecques à la moderne)
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LA SECTE DES ''BISEXUELS'
Les ÉCHANGES DE COUPLES sont nombreux dans les milieux bourgeois
Vous savez qu'il existe une distance amicale entre des gens du même sexe, et elle est évaluée à environ au moins 3' à 4', si 2 personnes s'approchent en-dedans de ce 3' considéré comme ''Zone amicale'' c'est cette ''BULLE'' de l'individu qui est brisée et on se retrouve en''ZONE INTIME'', et cette ''bulle de zone intime'' normalement on la réserve pour des personnes de l'autre sexe à qui on décide de donner l'autorsation de nous approcher autant.
Les militaires sont pathologiques
Et il habille ses filles en militaires: pas fort, pas très intelligents que sont ces ''uniformés'' qui ne pensent pas mais qui ne font qu'exécuter des ordres.
Bush embrasse Salem Ben Laden. Salem est le frère d'Osama Ben Laden ..........
Nous imaginons que dans leur ''CONFRÉRIE SECRÈTE des Élites'' qu'ils sont très très très liés entre eux...... Plusieurs croient que durant leurs rituels initiatiques pour être accepté dans les ''Skull and Bones'' ou dans d'autres groupes créés par Londres: qu'ils se font suçés, et puis qu'ils doivent après le faire, et ce serait ce genre de ''SECRET'' qui les lierait. DE TOUTE FAÇON, IL FAUT VRAIMENT ÊTRE ''DÉSÉQUILIBRÉ'' POUR VOULOIR DOMINER ET S'ÉLEVER AU-DESSUS DES AUTRES DE SE MAINTENIR AU POUVOIR PAR L'AUTORITÉ MILITAIRE AU LIEU DE L'ÉCOUTE ET DU PARTAGE INTERNATIONALE DU BIEN ''ÉCONOMIE''.
Mettre des militaires aux commandes des pays: ça c'est une stratégie britannique. Ces faux-frères ÉLITISTES qui trahissent les membres de leurs communautés. LES MILITAIRES FONT ALLÉGEANCES QU'À LEURS SUPÉRIEURS ET MÉPRISES LES MASSES..... Tous les militaires sont des menaces pour leurs citoyens, ce sont des hiérarchistes qui ont appris à mépriser les classes populaires et défendent férocement la royauté et jamais leurs populations.
Un militaire, c'est quelqu'un d'achetable qui pour un job sera prêt à tuer sans poser de question: vous voyez là la cause, le mal, le danger, la menace, le fusil chargé et pointé sur nous tous!
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texte extrait de la page web :
http://srg.hereses.chez.tiscali.fr/les%20premiers%20temps%20de%20l'etat%20pontifical2.htm
En 903, le pape Léon V est emprisonné et étranglé par l'anti-pape Christophore. En 904, le comte Théophylacte de Tusculum dirige Rome, assisté de sa femme Théodora, et de ses filles : Théodora la jeune et Marozie (Marosie, Marozia), qui est duchesse de Toscane. Elle prend pour amant le pape Serge III (904-911) et ont ensemble un fils, le futur Jean XI (931-936), avec qui elle aurait eu des relations incestueuses.
La mère de Marozie, Théodora sera quant à elle l'amant du pape Jean X (914-928) que Marozie fera arrêter et massacrer avec son frère Pierre, à cause de leur désir d'indépendance. Albéric II, fils de Marozie et d’Albéric, son premier mari, duc de Spolète, prend le pouvoir en 932 et la situation se stabilise : Marozie est emprisonnée, Albéric aide même Odon de Cluny à réformer des monastères, mais à sa mort en 954, son fils Octavius s'asseoit sur le trône de saint Pierre sous le nom de Jean XII (955-964) qui sacrera Otton II empereur du Saint Empire romain germanique en 962.
Il n'a que dix-huit ans et la cour papale continue de vivre à la manière d'un lupanar. En plus des plaisirs, la papauté se livrait aux cruautés les plus diverses : on crevait des yeux, on châtrait des dignitaires, on buvait à la santé du Diable pendant les orgies offertes au palais de Latran. A compter de 951, les Ottoniens mettent le nez dans les affaires italiennes, et pour longtemps, mais ils composent avec les pouvoirs en place.
Othon II remet en selle la famille Théophylacte dès 965, et c'est Jean XIII, fils de Théodora, sœur de la terrible Marozie, qui est nommé pape. On passera sur les épisodes sanglants dus à l'imposition des premiers papes allemands par les Ottoniens : Jean XIV est assassiné en 984, en 998, Jean XVI eut yeux et langues arrachés, nez et oreilles coupés : il continua pourtant de survivre jusqu'en 1013...à l'abbaye de Fulda : un exemple de plus qui nous montre que les monastères étaient bien plus que "le Paradis sur terre". Entre les deux, en 996, cela n'empêche pas George V de sacrer empereur Otton III. Côté italien, toujours en 998, le frère de Jean XIII, Crescentius, se rebella contre le pape Grégoire V, cousin d'Otton III. Pour sa peine, il fut décapité dans l'année et l'on exhiba en exemple son cadavre, accompagné de celui de douze autres Romains. l'année d'après, Grégoire V mourait, empoisonné.
Otton III imposa alors Gerbert d'Aurillac, son précepteur, mais il n'est pas question ici de parler de ce personnage remarquable, qui fut brièvement pape sous le nom de Sylvestre II (999-1003). Les Théophylacte reviennent à nouveau au pouvoir, contre les Crescentius, et ce n'est pas le bref mandat de Benoît VIII, qui confie sa charge à Romain, lui-même prenant à cœur la question du célibat, qui va changer grand-chose à cette situation délétère. Son successeur, Jean XIX, abandonna toutes les réformes en cours pour vivre dans la débauche, jusqu'en 1032, que la famille remplace par Benoît IX, un môme de douze ans, qui démissionne bien vite. Au passage, cette cession de pouvoir est très juteuse pour la famille, car la papauté est vendue par une charte de cession à Grégoire VI.
L'empereur Henri III, qui succède à Conrad II en 1039, s'en émeut et réunit un grand Concile à Pavie en 1046, qui condamna sévèrement la simonie et rétablit un pape allemand, Clément II....empoisonné en 1041, sans doute par Benoît IX, qui reprend sa place jusqu'en
Quand Brunon (ou Bruno) de Toul arrive à Rome, en 1049, fraîchement élu à la fonction suprême de l'Eglise, sous le nom de Léon IX (1049-1054), il est accompagné d'une équipe de choc, qui formera le collège réformateur du pape et qui initiera ce qui sera appelé la réforme grégorienne, du nom du pape Grégoire VII, qui n'est pourtant pas son initiateur. Autour de Léon IX, en effet, on trouve une solide équipe de réformateurs, dont plusieurs de Lotharingie, comme Brunon lui-même, là où s'effectuent de grandes réformes monastiques celles de Gorze, Brogne, Vanne, Stavelot, ou encore Toul, dont vient justement Léon IX , mais aussi plusieurs de ses collaborateurs, comme Humbert, que le nouveau pape soustrait de son abbaye de Moyenmoûtier, ou comme Udon, du chapitre cathédral de Toul (il remplacera Brunon à son évêché dès 1052), ou encore Frédéric de Lorraine, alors abbé de l'abbaye du Mont-Cassin et futur pape Etienne IX (pape de 1057 à 1058). En plus de ces Lorrains, on trouve dans ce collège deux Italiens éminents : Le jeune Hildebrand (Ildebrando), abbé de Saint-Paul-hors-les-murs, à Rome, à l'accession de Léon IX, et futur pape Grégoire VII (de 1073 à 1085), ainsi que le théologien de Ravenne, Pierre Damien (1007-1072). Ils seront tous faits cardinaux et légats pontificaux. Le légat du pape peut réunir synode ou concile, publie les décrets réformateurs, examine les conditions d’élection des évêques, lutte contre les dérèglements du clergé. Fait légat pontifical en France, et ce deux fois de suite : une première fois en 1059 et une deuxième en 1079, Hugues de Semur, l'abbé de Cluny, est aussi envoyé par le pape en mission, en Germanie et en Hongrie. Que ce soit à Rome, à Pavie ou à Reims, les conciles que tient Léon IX traitent principalement de deux questions : la simonie et le nicolaïsme. Eclairons un peu la vie des prélats que nous avons cité, et qui seront, les grands acteurs de la réforme de Bruno de Toul et de Hildebrand :
HUMBERT DE MOYENMOUTIER
Humbert est un moine de l'abbaye de Moyenmoûtier, dans les Vosges, que Léon IX nomme évêque suburbicaire2, avec le siège épiscopal de Silva Candida (1049). C'est lui qui est à l'origine de bien des textes dogmatiques de Léon IX, "ut in toto orbe sacerdotes ita hunc caput habeant sicut omnes judices regem" : pour que les prêtres, sur toute la surface de la terre, reconnaissent ce Chef comme tous les magistrats reconnaissent le roi (formule empruntée à la fausse Donation de Constantin). Citons en particulier les lettres adressées au patriarche de Constantinople, qui officialiseront le divorce des deux Eglises, celle d'Occident et celle d'Orient, consommé pourtant depuis longtemps. "In terra pax" la longue lettre de 1053 à Michel Cérulaire et Léon d'Achrida, est celle par laquelle il explique l'Eglise comme un corps dont la papauté est la tête (caput) de toute l’Eglise, le Pape étant le seul Vicaire (remplaçant, successeur) de Saint Pierre, seul responsable de la conduite de l'Eglise. Humbert réinterprète le passage de Matthieu "Tu es Pierre et sur cette pierre, je bâtirai mon église", en rapportant ce passage au pape, alors que, jusqu'ici, on le rapportait à tous les évêques. Citons aussi la bulle3d'excommunication déposée le 9 juillet 1054 par les légats pontificaux sur l'autel de l'église Sophie.
PIERRE DAMIEN (Pietro Damiani)
Pierre Damien (1007-1072), fait assez rare parmi les hauts prélats, est né d'une famille pauvre de Ravenne, abandonné encore petit aux soins d’une servante. C'est un grand frère, Damien, qui le prendra plus tard en charge et qui le fera fait étudier à Ravenne, où il montre au grand jour son intelligence, qui le mènera à étudier à Faenza, puis à Parme, devenant un professeur renommé.
Pour échapper aux tentations mondaines, il entre chez les moines camaldules de l’abbaye -Croix de Fonte Avellana (1035), où il mènera une vie violemment ascétique. Il écrit une Dispute avec un juif (P.L. , CXLV) sur
extrait de http://www.historia.presse.fr/data/thematique/65/06502601.html
La simonie fera, un peu plus tard, en
ANSELME DU BEC (ANSELME de PAVIE)
"Né en Aoste en 1033, Anselme fut archevêque de Cantorbéry (1093 à 1109) sous Urbain II et Pascal II. Il a connu les idées grégoriennes à Lyon et à Rome, durant ses deux exils (1097-1100, 1103-1106). Anselme conçoit l'Église en dépendance des idées augustiniennes : Cité de Dieu, où les hommes doivent prendre la place des anges déchus ; valeur fondamentale de l'humilité et de l'obéissance opposées à l'orgueil, à la superbia ; idéal de vivre, non pour soi seul mais pour Dieu, en aimant et servant le prochain dans une perspective de communion (cf. Epist. 345 : Opera, 6d. F. S. SCHMITT, V, p. 283). La valeur essentielle à réaliser est la rectitude, qui règle soit la pensée, soit la volonté, selon la vérité ou le vouloir de Dieu (théonomie, dont la vie contemplative des moines est la réalisation idéale). Or Dieu a établi un ordre, qui comporte la distinction des deux domaines, celui de César et celui de Dieu. Anselme est dans la ligne de la réforme du XIe siècle en dénonçant ainsi l'indistinction du concept d'ecclesia hérité de l'époque carolingienne et que les Impériaux prolongeaient. Mais il professe un idéal de collaboration (deux bœufs tirant la même charrue) qui s'apparente plutôt à la vision d'un Pierre Damien. Dieu a donné une structure définie à l'ordre dont le respect assure notre rectitudo (équivalent plus spéculatif de la justitia de Grégoire) : il a institué saint Pierre et le pape, son « vicaire ». Anselme leur attribue une valeur souveraine, désobéir au pape, ne pas observer les « ecclesiastica instituta », c'est aller « contra legem et voluntatem Dei ». Ceci est bien grégorien, mais Anselme ne pense pas les choses juridiquement. Il ne s'appuie que de façon assez générale sur Mt. 16, 8-19 et ne voit pas saint Pierre dans les catégories familières aux grégoriens, mais dans celles, courantes aux VIIIe, IXe et Xe siècles, de « portier du ciel ».
Il est un point, cependant, où il rejoint la démarche grégorienne dans le sens juridique : la façon de mettre en oeuvre le thème de l'Église-Épouse. C'est un titre que Grégoire VII attribue très souvent à l'Église, et parfois conjointement avec celui de « mater nostra ». Chez lui, chez les grégoriens, chez saint Anselme, qui en fait également usage, il ne s'agit pas tant de ce mystère par lequel le Fils de Dieu s'est uni l'humanité, a fait sortir de son côté l'Église comme mère des vivants par grâce, que de revendiquer contre les princes la libertas Ecclesiae, valeur juridique en même temps que spirituelle : « liberam vult Deus esse sponsam suam, non ancillam », « considerate regiam illam, quam de hoc mundo sponsam sibi illi placuit eligere », « Dieu veut que son épouse soit libre, non serve ». « considérez la dignité royale de celle qu'il a voulu se choisir en ce monde pour épouse ». Épouse, cette Église est mère des fidèles et réclame comme telle leur obéissance et leur respect. Tandis que chez les Pères, le thème de l'Ecclesia-Sposa exprimait l'insertion du mystère de l'Église dans celui du Christ, Sposa devient un titre de l'Église elle-même, qui lui vient bien du Christ, mais sert surtout à fonder sa libertas et, joint au titre de Mater, son autorité. L'iconographie illustre bien ce glissement de préoccupation et de sens."
texte extrait de la page web : http://www.tradere.org/biblio/histeg/eg-04.htm#P274_114210
HUGUES DE DIE (1020-1106)
Archevêque de Lyon, neveu d'Hugues Ier de Bourgogne, Hugues est d'abord prieur de Saint-Marcel de Chalon, puis évêque de Die (1073) et légat du saint-siège (1074). Il fut un des plus actifs collaborateurs du pape Grégoire VII, sur les instances duquel il fut élu à l'archevêché de Lyon. Il est un acteur très actif de la réforme grégorienne, convoquant maints conciles, au cours desquels il excommunie et dépose à tour de bras les clercs simoniaques et concubinaires : 1075 à Anse, 1076 à Dijon et Clermont, 1077 à Autun (contre le tyrannique Manassès de Gournay, qui priva Bruno, le fondateur des Chartreux, de ses charges et de ses biens), 1078 à Poitiers. Avant de mourir, ce pape le désigna même comme un des trois prélats dignes de lui succéder. Déçu par l'élection de Didier, abbé du Mont. Cassin, devenu pape sous le nom de Victor III, l'archevêque de Lyon entra en lutte ouverte contre la cour de Bome et fut excommunié au concile de Bénévent en 1087. Rentré en grâce sous Urbain II, il fut de nouveau légat du saint siège et prit une part des plus actives aux luttes de l'Eglise pour les réformes et contre l'empereur d'Allemagne. Au milieu de ses entreprises il n'oublia pas son Eglise; en 1095 il faisait renouveler le décret qui soumettait tous les sièges des Gaules à la primatie de Lyon, instituait les chanoines réguliers de Saint-Irénée, achevait l'église de Saint-Etienne de Lyon, élevait le palais archiépiscopal, une maison somptueuse à Chazay, faisait l'acquisition de vastes domaines dont il enrichissait son chapitre à qui il laissait encore en mourant, avec des bijoux précieux, de riches ornements sacerdotaux, et une belle collection de manuscrits.
NOTES
1. A cette occasion, Léon IX confirmera par ailleurs le privilège d'exemption dont Cluny jouissait depuis 1024.
2. "La tâche principale des cardinaux-évêques, encore qualifiés d'évêques " suburbicaires ", était d'assurer le service liturgique des quatre basiliques patriarcales de Saint Pierre au Vatican, Saint-Laurent-hors-les-Murs, Saint-Paul-hors-les-Murs et -Marie-Majeure. Au départ, le terme " cardinalis " désignait tous ceux qui offraient leur service à l'église épiscopale. A partir du VIIIe siècle, le titre fut réservé à certains clercs romains desservant les principales paroisses de la ville et assistant le pape. A partir du pontificat de Léon IX (1049-1054), les cardinaux-évêques devinrent les principaux instruments du gouvernement de
texte extrait de la page web : http://www.e-moyenage.com/bulle_1054.htm
3. Cette bulle n'en est pas vraiment une au sens étroit du terme, puisque celui-ci désigne un acte scellé d'un sceau de plomb ou d'or, ce que n'est pas le texte d'Humbert.
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