dimanche 24 mai 2009

PEUREUX, SUIVEUX, CONFORMÉS, MOUTONS, TRAÎTRES ET LÂCHES

Moutons (suiveux), lièvres (peureux), serpents (rampants), autruches (qui se cachent la tête et ferment es yeux pour ne pas voir), ....... VOUS RECONNAISSEZ-VOUS ????

CESSONS D'ÊTRES ACHETABLES pour un job et de l'argent, de prétextes qu'on a pas le choix pour payer son loyer de travailler pour n'importe qui et qu'importe si l'employeur exploite aussi nos enfants et se fou des collectivités..... en autant que nous, nous ayons un travail......

SORTONS DE LA MORALE DU SALAIRE

Restons intègres et non achetables. Vaut mieux un pauvre utile qu'un riche et qu'un travailleurs inutiles qui ne vivent que pour leurs ventres et leurs poches !


Anecdote personnelle

*** Bien des voyant lesBlogs que je fais et de la façon que je m'en prends aux puissances financières qui abusent de l'Humanité, me disent ''TU N'AS PAS PEUR ?''. Mais peur de quoi que je leurs répnds ? J'avais vraiment peur d'une chose et c'était la pauvreté, et je suis pauvre depuis que j'existe, je baigne donc dans ce que je craignais le plus, ....... maintenant vous comprenez pourquoi je fonce comme un taurau partout, tellement ma déception est grande et mes douleurs permanentes: car je ne me soucis pas juste pour moi mais pour nous tous ET JE N'ACCEPTE PAS QU'AUCUNE PERSONNE HUMAINE NE SOIENT CONTRAINES À SUBIR UNE VIE MÉDIOCRE..... C'est comme se priver de tous ces trésors ''humains'' qui nous entourent, c'est tuer des étoiles......

Et ......


Voilà où mènent la peur, le conformisme et le fait d'être achetable pour un job et un peu d'argent



L'inscription en fer forgé « Arbeit macht frei » (« Le travail rend libre ») symbolisant l’entrée de l’ancien camp de la mort nazi.
Un slogan prolétaristes, qui fait l'affaire des exploiteurs qui ont besoin de mains-d'oeuvres bon marché, repris cyniquement dans les camps. L’expression se répandit alors dans les cercles allemands et fut adoptée en 1928 par le gouvernement de la République de Weimar pour vanter le programme d’emplois publics de masse mené alors pour en finir avec le chômage. Le slogan fut utilisé à cette même fin par le parti nazi (NSDAP) lorsqu’il accéda au pouvoir en 1933. Le slogan peut être observé dans les camps d’Auschwitz, Dachau, Gross-Rosen, Sachsenhausen ou encore Theresienstadt. Cynique et criminel, il était censé traduire la prétendue fonction « éducatrice » du travail dans les camps, dont le but en vérité se révéla être l’extermination d’êtres humains par le travail forcé.

DE NOS JOURS, DES BOURGEOIS ET DES BOURGEOISES continuent de défendre férocement les idéologies antifraternelles car elles les avantagent. On les voit autour de nous mal agir et se dire ''fiers'' de suivre; on les entend rire des autres et se croire supérieurs avec leur ''réalité de suiveux''.



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