La famille royale d’Angleterre EST ALLEMANDE
Portant un titre royal, Sa Majesté n'a pas de nom de famille, mais, quand un est utilisé, c'est Windsor. Lors de sa naissance, son nom de famille était Wettin, et le nom de la Maison royale était Saxe-Cobourg et Gotha. En 1917, pendant la guerre avec l'Allemagne, le nom de la dynastie et le nom de famille personnel furent changés en Windsor pour éliminer le ton allemand.
Il n’y a pas encore si longtemps, la Guerre était l’état normal de toutes sociétés… Nous sortons peu à peu de cette période de cannibalismes, de rituels sanglants, des sacrifices humains où l’on immolait et mangeait des enfants, des bateaux sur mer qui partaient pour piller les voisins et voler leurs femmes pour accroître le nombre de leurs esclaves, … De tous temps des humains (des Élus, des bureaucrates, des décideurs civils et militaires), par la politique : ont livré leurs pays aux Commerçants et aux Banquiers qui les tiennent financièrement!
Terrorisme au Canada
Au Canada, le terrorisme se divise à peu près en trois catégories (Bell, 2004) :
- l’extrémisme religieux/international
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Pierre Laporte (25 février 1921 à Montréal- 17 octobre 1970), est un avocat, journaliste et homme politique québécois. Il est kidnappé puis assassiné par des membres du Front de libération du Québec, au cours de la Crise d'octobre, en 1970.
Fils de René Laporte, médecin, et de Juliette Leduc, Pierre Laporte vient d'une famille identifiée au Parti libéral. Il est le petit-fils d'Alfred Leduc, qui a été ministre sans portefeuille dans le gouvernement Taschereau. Laporte fait ses études classiques au Collège de l'Assomption et étudie le droit à l'Université de Montréal. Il est admis au barreau du Québec en juillet 1945[1].
Diplôme en main, il se marie le mois suivant à Françoise Brouillet et pratique le droit avec Jean-Paul Verschelden et Simon Venne[1]. Parallèlement à sa carrière d'avocat, il poursuit des ambitions journalistiques. Le politologue Dale C. Thomson le décrit comme un « catholique fervent », un « nationaliste inébranlable » et un homme « énergique et ambitieux », mais sans le sou[2].
Laporte est embauché au Devoir de Montréal, où il travaillera pendant 16 ans. Le journal l'affecte notamment à la couverture de l'Assemblée législative durant les travaux parlementaires. Adversaire politique du gouvernement de Maurice Duplessis, Laporte devient l'un des premiers journalistes francophones à couvrir le terrain fertile des scandales au gouvernement du Québec[2] sous la Grande Noirceur. Il se présente en tant que candidat indépendant — mais avec l'appui tacite des libéraux[3] — dans la circonscription de Montréal-Laurier lors de l'élection générale de 1956. Il sera battu et reprend du service en tant que journaliste.
Le 13 juin 1958, Laporte publie une nouvelle fracassante : plusieurs ministres du gouvernement de l'Union nationale auraient profité financièrement d'informations confidentielles lors de la vente du réseau de distribution du gaz naturel à Montréal par Hydro-Québec. Il écrit :
« Des ministres, des conseillers législatifs, des fonctionnaires et des financiers sont impliqués dans cette affaire de 20 millions $. Plusieurs ministres du cabinet Duplessis — peut-être le Premier ministre lui-même — ont spéculé sur les actions de la Corporation de gaz naturel du Québec[4]. »
L'affaire, connue sous le nom de scandale du gaz naturel, met en cause l'ex-ministre des Finances devenu lieutenant-gouverneur, Onésime Gagnon, ainsi que sept autres ministres du gouvernement de l'Union nationale. Malgré les démentis formels du premier ministre, plusieurs historiens[5],[6] affirment que cet épisode a affecté la santé de Maurice Duplessis, aux prises avec un diabète sévère.
En 1960, il publie Le vrai visage de Duplessis aux Éditions de l'Homme. L'ouvrage, écrit au lendemain de la mort du premier ministre unioniste qu'il a couvert et combattu avec acharnement pendant plus d'une décennie, est étonnamment bienveillant à l'égard de Duplessis. Laporte le qualifiant de « complexe », à la fois « très généreux » et « mesquin », « intraitable ou charmant ». « Il me paraît évident que ce livre n'est pas une charge à fond contre lui », affirme l'auteur en introduction à son ouvrage, réédité en 1962[7].
En 1961, le nouveau premier ministre du Québec, Jean Lesage, le convainc de tenter sa chance à nouveau en politique. Il est élu député de Chambly à la faveur d'une élection partielle, le 14 décembre 1961. Il y sera réélu aux élections générales de 1962, 1966 et 1970.
Après l'élection de 1962, il accède au Conseil des ministres, à titre de ministre des Affaires municipales, puis de ministre des Affaires culturelles dans le gouvernement Lesage.
Après la défaite libérale de 1966, Laporte devient le leader intérimaire de l'Opposition à l'Assemblée nationale.
Il se porte candidat à la direction de son parti, mais il est défait par Robert Bourassa, qui sera élu premier ministre du Québec le 29 avril 1970. Son ancien adversaire lui confie le poste de leader du gouvernement en chambre et de ministre du Travail et de la main-d'œuvre.
Enlèvement et assassinat
Le 17 octobre, le FLQ émet un communiqué à la station de radio montréalaise CKAC 730 dans lequel il annonce la mort du ministre. Le journaliste Michel Saint-Louis se rend dans un terrain vague à proximité de l'aéroport de Saint-Hubert. Le corps de Pierre Laporte a été retrouvé dans le coffre d'une voiture de marque Chevrolet.
C'est donc après sept jours de séquestration que Pierre Laporte est retrouvé sans vie. Les médias font écho au rapport d'autopsie qui conclue à la mort par strangulation. Une version alternative des événements évoque la mort accidentelle du ministre, suite à une tentative d'évasion.[8
Pierre Laporte est enterré au Cimetière Notre-Dame-des-Neiges, à Montréal, le 20 octobre 1970. Un pont reliant la ville de Québec à la rive sud du Saint-Laurent est appelé le Pont Pierre-Laporte. Il a été inauguré le 1er novembre 1970, en présence de la veuve du ministre assassiné et du premier ministre Robert Bourassa. Plusieurs écoles et rues du Québec ont également été renommées en sa mémoire.
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Petits rappels
Le FLQ existait déjà depuis six ans… Et pendant ces années, environ 200 bombes avaient explosé au Québec à la suite d’actes du FLQ/GRC ou d’autres groupes criminels. Il y avait également eu des vols à main armée aux fins terroristes.
'autre cellule ayant participé à la crise d'Octobre 1970 fut la cellule de financement Chénier, ou cellule Chénier, enlevant le ministre Laporte. Le chef de ce groupe était Paul Rose, un pion achetable et prêt à faire du mal à n'importe qui pour un peu d'argent..... Parmi les cellules felquistes ayant participé activement à la crise d'Octobre, une seule s'est vue obligée de fuir : la cellule Chénier. En effet, les membres de celle-ci ont du se réfugier à plusieurs places différentes. Par contraste, dans les 15 mois précédent le 30 avril 1970, 4300 bombes avaient explosé aux États-Unis, faisant 43 morts et 384 blessés. À New-York, une bombe sautait un jour sur deux. Dans notre crise, nous avions, jusque-là, deux enlèvements. Personne à New-York ne proposait la suppression de toute protection contre les arrestations illégales, mais nous nous apprêtions à faire justement cela.
D’un hypocrite à la Bourassa qui s’appuie sur les blindés de la Brinks, véritable symbole de l’occupation étrangère au Québec, pour tenir les pauvres « natives » québécois dans la peur de la misère et du chômage auxquels nous sommes tant habitués
Un peu plus tard......
À Montréal en 1974, Robert Samson, un agent de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) est arrêté après avoir été hospitalisé. La bombe qu’il posait lui ayant explosé dans les mains. Très vite, il semble que Samson soit corrompu et poseur de bombe occasionnel pour des membres du monde interlope. Interrogé en audience préliminaire en vue de son procès, il s’exclame : « J’ai fait bien pire pour la GRC ! » Par la suite, il déclare être le responsable d’un cambriolage survenu le 6 octobre 1972 à l’agence de presse libre du Québec, une agence de presse à tendance de gauche. L’opération ayant pour but de mettre la main sur des documents pouvant compromettre des militants des mouvements de gauche et du mouvement indépendantiste québécois. Très rapidement, l’opinion publique et les médias demandent une enquête. La commission Keable découvre que, au moins dans les années qui suivirent la crise d’octobre 1970, la GRC s’est engagée dans un programme extensif d’espionnage des groupes nationalistes québécois, y compris le Parti québécois (PQ), parti politique légalement constitué.
Cette campagne de surveillance inclut des infractions à la législation telles que :
- le cambriolage à l’agence de presse libre du Québec (APLQ) (Voir plus haut).
- le vol de listes de membres du PQ en janvier 1973, au cours de l’opération « Ham » soit un cambriolage à l’entreprise « Messageries Dynamiques Inc. » qui impliqua 66 agents de la GRC.
- l’incendie criminel, en 1971, d’une grange (i.e. La Ferme du Québec Libre dans les Cantons de l'Est) où devait se tenir une rencontre entre des membres du Front de Libération du Québec (FLQ) et des Black Panthers américains, l’endroit appartenait à une entreprise nommée « Jazz libre du Québec » et était le rendez-vous de divers groupes contestataires.
- l’émission de 13 faux communiqués du FLQ en 1971, rédigés pour la plupart par l’informatrice Carole Devault, dans le cadre de la mise sur pied d’une fausse cellule du FLQ, la cellule André Ouimet. La fausse cellule revendiquera un attentat à la bombe incendiaire à la compagnie « Brink’s » de Montréal en janvier de la même année.
- le vol de dynamite, dans la nuit du 26 au 27 avril 1972, dans la poudrière de la « Richelieu Explosives » de Rougemont, par le gendarme Rick Daigle ainsi que les caporaux Bernard Dubuc et Normand Chamberland.
- le kidnapping de André Chamard, stagiaire dans une étude de droit participant à la défense des accusés du FLQ, le 7 juin 1972, avec la participation notamment du gendarme Rick Daigle. Les agents tentèrent d'abord de le recruter comme indicateur en le faisant chanter pour une affaire de drogue, en le maltraitant et en proférant des menaces de mort. Devant son refus de coopérer, ils l'abandonnèrent en pleine campagne.
La plupart des musiciens du Jazz libre du Québec –une formation musicale anciennement avec Robert Charlebois- étaient des activistes de gauche. Ils se produisaient à L’Amorce, un café de la rue Saint-Paul dans le vieux-Montréal. Le soir de la Saint-Jean-Baptiste en 1974, alors que la police anti-émeute avait bouclé et vidé le quartier sans ménagement, L’Amorce fut rasé par un incendie suspect (le contrebassiste Maurice Richard avait tout juste eu le temps de sauver son instrument). Dans les conclusions de l’enquête menée dans le cadre de la commission Keable, il a été avéré que ce sont des membres de la force constabulaire qui avait incendié le café L’Amorce.
La commission d’enquête québécoise révéle les noms de trois officiers ayant autorisés le cambriolage à l’APLQ : le surintendant Cobb, de la GRC, ainsi que l’inspecteur Jean Coutellier de la Sûreté du Québec et l’inspecteur Roger Cormier de la police de Montréal. Les trois hommes bénéficient d'une libération de la part d’un tribunal en 1977 ; libération qui n'a pas été pas justifiée selon certains observateurs.
Pour sa part, la commission McDonald découvre que la GRC a ouvert sans mandat les lettres de 865 citoyens entre 1970 et 1977. L'ouverture de ces correspondances privées ne permettra aucune arrestation.En 1981, la commission Keable publie un rapport de 450 pages, à la suite duquel quarante quatre accusations criminelles furent portées contre dix sept agents et ex-agents de la GRC.
La commission qualifie aussi d’« inadmissible » le fait que John Starnes, directeur général du service de sécurité de 1970 à 1973, a autorisé le cambriolage à l’APLQ et le vol de listes de membres du PQ. Elle refuse de nommer les agents d’échelon inférieur ayant participé à ces opérations parce qu’ils ne faisaient « qu’obéir aux ordres ». La commission conclue aussi que le service de sécurité de la GRC a « échappé à tout contrôle » dans les années 1970. Le gouvernement fédéral conclut qu’il n'est pas « approprié » de poursuivre la centaine d'agents impliqués directement.
Que dire, aussi, de Claude Morin, le sale traître qui était un agent de la GRC depuis le début des années 1950 et du faux Parti québécois à la Brtitaniques, et du prétendu mouvement indépendantiste dans les années 1950, 1960 et 1970, hein?
Nous vivons dans une société d’esclaves terrorisés, terrorisés par les grands patrons, Steinberg, Clark, Bronfman, Smith, Neapole, Timmins, Geoffrion, L. Lévesque, Hershorn, Thompson, Nesbitt, Desmarais, Kierans (à coté de ça, Remi Popol la garcette, Drapeau le dog, Bourassa le serin des Simard, Trudeau la tapette......Terrorisés par l’église capitaliste romaine qui maintenant fait ses coups par en-dessous et à l'abri de tous soupçons....
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Nous voulons des gens souverains et sécure financièrement, aux USA il y a 52 États souverains et ont autant de pauvres
L’État doit protéger les citoyens contre les injustices et les violences venant du dedans comme du dehors. ADAM SMITH. Et il ajoute: « Assurément, on ne doit pas regarder comme heureuse et prospère une société dont les membres les plus nombreux sont réduits à la pauvreté et à la misère».
René Lévesque, ENDURCI par ce qu'il a vécu durant la Deuxième guerre mondiale a été recruté par un agent du nom de Robb, qui était chef du bureau montréalais de l'Office of War Information, (OWI) (2) un service de renseignement nominalement américain, mais sous contrôle britannique.
Il a ensuite été recruté par les services Britanniques comme «journaliste» pour le service de radio international dans les bureaux montréalais de la Canadian Broadcasting Corporation (CBC). Il a été transféré au service de télédiffusion dans les années 50 et est «devenu une vedette pour les Québécois», au service de la CBC, avec son émission Point de mire. C'est à ce moment là qu'il a été «officiellement» catapulté en politique québécoise. La raison était très simple. Il fallait à tout prix enlever le pouvoir à l'Union Nationale car Daniel Johnson s'apprêtait à devenir son chef, après la mort soudaine de Maurice Duplessis et celle de Paul Sauvé.
Maurice Strong, faisait lui-même partie des réseaux du Prince Philip et du Prince Berhnard, il était une des têtes dirigeantes de Power Corporation. Il en est devenu le viceprésident en 1963, après qu'il eut fait des millions sur le dos des Québécois, avec la nationalisation de l'électricité. Pour vous donner une idée de la relation entre René Lévesque et Daniel Johnson, voici une anecdote: Un jour, durant une session de l'Assemblé nationale, Lévesque dit à Johnson «vous êtes le personnage le plus vomissant que je connaisse».
Le PQ à été créé 16 jours après la mort tragique du Premier ministre du Québec, Daniel Johnson (père). Le but était simple: attirer toutes les forces nationalistes; qu'elles soient de gauche, de droite, qu'elles soient communistes, socialistes, catholiques ou maçonniques, pour ensuite les empêcher d'atteindre leur objectif. Le principe était le même. C'était le «principe de la palette-à mouches». On a tous déjà vu ça: Une languette attachée au plafond d'un chalet, enduite de colle sucrée, vers où les mouches se dirigent et y restent collées, jusqu'à ce que mort s'ensuive! Voilà pourquoi le PQ avait été créé à l'origine.
René Lévesque grandit à New Carlisle, un petit village à majorité anglophone et bourgeoise comptant à l'époque près de 1000 habitants[1] situé dans le comté de Bonaventure en Gaspésie. Sa mère est Diane Dionne-Pineault, descendante d'une lignée des seigneurs de Tilly[1], et son père est Dominic Lévesque, un avocat de la région de Gaspé. Bien que sa famille parle le français à la maison, le jeune René apprend très tôt l'anglais au contact de ses voisins, d'origine britannique ou américaine.
Correspondant de guerre
L'armée canadienne lui ayant refusé un poste d'officier, en tant que correspondant)[1]. Au début de l'année, René est engagé comme agent de liaison pour le compte de l'armée américaine et se rend à Londres, alors bombardée chaque jour[1] par la Luftwaffe nazie. Attaché aux forces américaines, il est des campagnes militaires de France, d'Allemagne et d'Autriche. En février 1945, il devient correspondant de guerre pour les troupes du général américain George Smith Patton puis du général Alexander McCarrell Patch. Il accompagne la première unité américaine qui atteint le camp de concentration de Dachau. Il sera profondément bouleversé par ce qu'il y verra[1]. Avec la fin de guerre, il s'installe à Montréal et devient journaliste pour Radio Canada International (RCI). Il est initialement animateur de l'émission Journalistes au micro.Il sera de nouveau correspondant de guerre en 1952 durant la guerre de Corée. Après cet épisode, il se fait offrir une carrière de journaliste aux États-Unis, mais décide de rester au Québec.
En 1952, il est promu chef de service des reportages radiotélévisés à Radio-Canada. Avec la fin de la guerre de Corée, il devient animateur de l'émission de radio Au lendemain de la veille et des émissions télévisées Carrefour et Premier plan.
En 1957, il reçoit le Prix Olivar-Asselin pour sa carrière de journaliste. À cette époque, il collabore occasionnellement à la revue Cité libre, fondée par Pierre Elliott Trudeau (autre PION DE LA REINE).
Le 5 juin 1966, il est réélu député dans la circonscription de Laurier. Lors de la campagne électorale, René Lévesque, toujours fédéraliste, conteste fermement les chances du RIN (Rassemblement pour l'indépendance nationale) fondé par Pierre Bourgault six ans auparavant. RENÉ LÉVESQUES N'A JAMAIS ÉTÉ INDÉPENDANTISTE, et si il l'est devenu (en apparence) ce n'était que pour s'introduire, jouer à la Gauche et s'ériger en leader afin justement de neutraliser nos actions citoyennes. . . tel un bon espion de SA MAJESTÉ d'Angleterre.Et pour NEUTRALISER le parti de Borgault (le RIN), Lévesque, suite au discours du général Charles de Gaulle à Montréal en 1967, René réagit et le 19 novembre 1967, René Lévesque fonda le Mouvement souveraineté-association (MSA) comme façade géopolitique faisant croire à la vocation de promouvoir sa vision d'un Québec indépendant et formellement associé au Canada dans le cadre d'une nouvelle union semblable, dans ses principes, à la Communauté économique européenne.. . et comme ces pions de Londres ont toujours réussi à nous manipuler: et bien nous y avons tous cru.... car les gens, et moi compris à cette époque, on avait pas Internet qui offre de nombreux sites à la critique, et je n'avais comme la majorité aucune connaissance de l'Histoire et des magouilles politiques qui se tramaient mondialement depuis toujours. . . Bourgault se laissa convaincre de .... Le 26 octobre, les membres du RIN votent en faveur de la dissolution de leur organisation. Quelque quinze jours plus tard, la majeure partie de ses 14 000 membres a rejoint le Parti québécois[5]. Et Bourgault (cet homosexuel de la ligne pure et dure de la Gauche..... ou pénis de gauche: c'est une farce) entra dans le parti de Lévesque.
Un incident malheureux fait la manchette en février 1977. Dans la nuit du 6 février, René Lévesque happe mortellement, avec sa voiture, Edgar Trottier, un sans-abri de 62 ans qui se trouvait sur la route. Certains disent que Monsieur Lévesque était en état d'ébriété cette soirée-là.
TRAÎTRE POUR SA PREMIÈRE FEMME: TRAÎTRE CONTRE LES QUÉBÉCOIS ???Aucune accusation ne sera portée contre lui, mais René Lévesque restera marqué par l'incident. Il sera par la suite révélé que sa passagère n'était pas sa femme, mais une secrétaire du nom de Corinne Côté. Le mariage de René Lévesque se soldera alors par un divorce puis il épousera, le 12 avril 1978, Corinne Côté, fille de Roméo Côté et d'Irma Tremblay, au palais de justice de Montréal.
Les citoyens sont bons, ils font confiance, ils sont honnêtes et il est facile de les manipuler justement à cause de ces qualités.... Mais lorsque quelqu'un comme moi, un jour se rend compte de la duperie, là il devient ......
La reine Élisabeth 1 et son mari le roi Georges V1 avec le Pape Jean XX111
CONTRÔLE DÉMOGRAPHIQUE EN TUANT DES POPULATIONS-CIBLES
Ces faiseurs de conflits et de guerres que pour leurs avantages et pour conserver leurs privilèges.
La gestion de la censure par les États et, de manière nettement plus significative, par ses alliés de Londres et Washington.
D’ailleurs, pratiquement intégrés de fait aux forces armées, les reporters de guerre en uniforme et à la merci de l’armée canadienne pour leurs déplacements et leur subsistance en campagne étaient les agents minutieusement contrôlés d’un effort de guerre qui dépendait largement de l’adhésion civique à l’effort de guerre national, et ce, d’autant plus que l’enthousiasme des Canadiens francophones pour cette cause était quelque peu incertain.
Les censeurs militaires étaient bien décidés à préserver le front de l’arrière des nouvelles dérangeantes.
Durant cette Seconde Guerre Mondiale, les premières nouvelles du raid qui ont été communiquées au public britannique faisaient état d’un grand succès et, par-dessus tout, d’un triomphe pour la RAF. Toute mention de pertes canadiennes ou de la moindre participation du Canada a été supprimée par les censeurs.... Et les autorités canadiennes ont adroitement neutralisé toutes les tentatives des correspondants de guerre de rencontrer des survivants canadiens du débarquement de Dieppe.
Quiconque connaît l’histoire des correspondants de guerre durant la guerre de 1914-1918 ne s’étonnera pas des problèmes vécus en 1939-1945. Parfaitement au courant des reproches lancés par les journalistes aux stratèges militaires britanniques durant les guerres de Crimée et d’Afrique du Sud, le War Office avait déjà préparé sa riposte quand Joffre, le commandant
en chef français, chassa tous les journalistes des champs de bataille. L’armée britannique le déjoua en faisant d’un officier d’Étatmajor un correspondant de guerre. Le colonel Ernest Dunlop Swinton, auteur de récits d’aventures pour les garçons, devait rédiger un communiqué quotidien signé « Eye-Witness » afin de fournir au public britannique toutes les nouvelles que l’armée jugeait bon de divulguer. Officier du génie, Swinton avait déjà conçu l’idée d’un véhicule blindé à chenilles pour détruire les mitrailleuses sur le champ de bataille.
Évidemment, les accomplissements canadiens étaient rarement à l’honneur dans ces textes prudents de quelques milliers de mots produits au jour le jour par Swinton, tous empreints du flegme traditionnel cher aux officiers britanniques. Par conséquent, Ottawa attribua le même rôle à un correspondant canadien. Dans le Canada d’avant-guerre, Max Aitken avait été un jeune prodige de la nouvelle industrie des fusions et acquisitions, y gagnant des fortunes. Quand il avait quitté le Canada pour l’Angleterre en 1910, ses critiques avaient prétendu qu’il fuyait de vagues accusations de magouillages financiers. Néanmoins, Aitken avait prévu de revenir au moment des prochaines élections et de conquérir un siège pour les Conservateurs de sir Robert Borden. En Grande-Bretagne, il avait vite gagné un siège au sein de la députation parlementaire des Tories avant de se jeter à corps perdu dans la lutte politique à Londres. Aitken était un tenant convaincu de l’Empire britannique et un ami fidèle d’un impérialiste aux opinions encore plus 570 revue d’histoire de l’amérique française affirmées, le colonel Sam Hughes, d’abord ministre de la Milice et de la Défense du gouvernement Borden après 1911, puis l’architecte du corps expéditionnaire canadien outre-mer en 1914. Les avantages d’être le témoin oculaire de la guerre pour le Canada étaient évidents pour Aitken, marginalisé par son exil, mais les avantages d’avoir un ami comme seul chroniqueur des exploits militaires canadiens en France n’échappèrent pas non plus à Hughes. Ces avantages devinrent particulièrement évidents après que le contingent canadien eût perdu 12 000 combattants durant la deuxième bataille d’Ypres en avril-mai 1915. Un reporter honnête aurait pu gloser sur le fusil Ross, manufacturé à Québec et soutenu avec ardeur par Hughes, mais abandonné par de nombreux soldats canadiens quand il s’enraya dans la boue des Flandres, ne réussissant pas l’épreuve du feu. Sous sa jaquette jaune, le compte rendu de Max Aitken, Canada in Flanders, transforma le désastre en un triomphe de la vaillance canadienne face aux Allemands qui avaient odieusement employé du chlore gazeux contre des Canadiens sans protection. Les statistiques officielles rapportent seulement trois gazés canadiens morts durant la bataille (et sept seulement parmi les deux divisions françaises attaquées de la même façon). La version héroïque et triomphaliste de Max Aitken est restée plus satisfaisante pour les Canadiens que la honte d’avoir envoyé des soldats mal commandés, mal entraînés et épouvantablement mal armés risquer leurs vies.
Ll’essence même de la politique des Libéraux au Canada était de ne pas trahir le moindre signe de planification ou de préparation en vue d’une nouvelle guerre européenne.
Décidé à ne pas
servir dans une armée qui prêtait serment à un souverain britannique, René Lévesque se porta volontaire pour travailler avec l’American Office of War Information, accumulant de l’expérience personnelle et professionnelle en servant comme correspondant de guerre étatsunien.... MAIS POSSIBLE QUE RENÉ LÉVESQUE IGNORAIT QUE LES ÉTATS-UNIS ÉTAIT LA TENTACULE MAÎTRESSE DE LONDRES mais je doute car durant la cruauté de ces guerres ''PERSONNE NE VIVAIT LIBRE DE SES IDÉES ET DE SES AGISSEMENTS'' et non plus René Lévesque.
L'Hydro Québec de René Lévesque c'est quoi ? Une société de production et de prolétaristes.
UN AUTRE ESPION
CLAUDE MORIN
Mail lui, il s'est fait prendre
Mon interprétation est que Claude Morin «n'était pas un simple informateur de police. Il était considéré, selon moi, comme un espion de régime.» C'est ce qu'écrit Normand Lester, journaliste d'enquête émérite, dans Enquêtes sur les services secrets, un livre fascinant paru aux Editions de l'Homme.
C'est une lecture à conseiller aux journalistes qui, ayant la mémoire défaillante, présentent Morin comme ministre des Affaires intergouvernementales sous René Lévesque et ancien haut fonctionnaire, sans juger bon de rappeler son passé d'agent double payé par la GRC. Morin écrit d'ailleurs, candidement, qu'en 1981, «tenir à l'autonomie du Québec n'est pas torpiller les tentatives de réforme» du fédéralisme! Avec des réflexes aussi fédéralistes, on comprend mieux sa hargne légendaire contre les péquistes souverainistes qu'il qualifie d'«intégristes purs et durs» dans son livre Les choses comme elles étaient. En fait, on se demande bien ce que Morin faisait au PQ...
Pariseau est ce prétendu économiste qui a dit cette énormité ''Taxer les riches et les multinationales ne sert à rien, cela rapporterait peu: alors que taxer la majorité des citoyens rapportent beaucoup plus''....
Des femmes ont toujours gouvernées
Les mères qui dirigeaient leurs fils rois
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UN AUTRE TRAÎTRE
DÉ-BANCARISONS, DÉ-concurrençons les ...
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L'un des grands mensonges Britanniques et sa guerre d'Hitler c'est de ne parler que des 6 millions de Juifs qui ont été tués POUR NE PAS PARLER DES 100 MILLIONS D'HUMAINS que les 2 Guerres Mondiales de la Couronne d'Angleterre ont assassinés.
Débusquons les traîtres que les historiens militaires ont stygmatisés.
Sous De Gaulle, la France est visiblement et ridiculement militaire. Comment un pays peut-il se laisser mener par des militaires ? Évoluons merde ! UN général comme Chef d'un Pays c'est catastrophique: ça régiment la vie quotidienne des civils pour transformer tous les citoyens en soldats sans uniformes mais embrigadés jusqu'à l'os.
De Gaulle avait du sang Allemand de par son grand-père maternel, ce dernier demeurait à Beyrouth (Liban).....
La famille maternelle de Charles de Gaulle, les Maillot, était originaire des Flandres françaises. C'est du côté de cette famille maternelle que le général de Gaulle avait des ancêtres irlandais (les MacCartan[6], Jacobites réfugiés en France après la Glorieuse Révolution), écossais (les Fleming), et allemands (les Kolb, du Duché de Bade).
Que De Gaulle soit d'origine Irlando-Allemande, cela explique la sympathie qu'avait envers lui les Britanniques surtout lorsque l'on sait que la Famille Royale d'Angleterre a aussi du sang Allemand.... De Gaulle n'a jamais caché son anti-sémitisme, et il fallait être anti-Juif pour être général durant ces 2 Guerres Mondiales et contribuer avec les classes privilégiées du Monde Entier à l'extermination de 6 millions de Juifs pour ce qui est de la Deuxième Guerrte Mondiale, et à l'élimination de quelques 100 millions d'humains durant la Première Guerre Mondiale et avec cette Grippe Espagnole qui n'avait rien d'Espagnole et qui sortait des labos britanniques et américains......Le nom « de Gaulle » semble est issu d'une forme germanique (franque ou normande) : De Walle, signifiant le mur (d'enceinte), le rempart, où De = le et Walle = mur, le w germanique ayant évolué en g en roman[1]. Walle provient du vieux saxon wal, qui a donné l'anglais wall ou le danois val.
Tout jeune de Gaulle était un antisémite notoire (voir Notes et Carnets publiés en 1980 qui publie deux phamplets d'une race violence sur ces juifs détestés).Ensuite il s'allie à l'Action française, ou siègent quelques futurs ministres de Vichy et collaborationnistes engagés. Il est ami avec Giraud, Hettier de Boislembert et Deloncle fondateur de la Cagoule, célèbre officine extrémiste et collaborationniste..
D'inspiration monarchiste, Charles de Gaulle, militaire soumis au devoir de réserve, révèle dans sa correspondance privée son peu de considération pour le parlementarisme et lui préfère un régime fort.
Dès 1930, apparaît la droite sioniste. Son chef, Jabotinski, se définit comme " révisionniste ". C'est un admirateur de Mussolini qui prône l'expulsion de tous les Palestiniens. La droite Sioniste n'est pas un accident de l'histoire. C'est la conséquence inévitable de toute logique nationaliste qui, au nom des prétendus intérêts d'un peuple, finit par nier les droits de tous les autres.
De Gaulle a fait plus que quiconque pour le prochain rétablissement de la monarchie en créant la Vème république, en incitant subliminalement l'opinion à se faire à l'idée d'avoir un président qui ressemble beaucoup à un roi.
LES GUERRES POUR ÉLIMINER TOUTES LES TÊTES PENSANTES
DE GAULLE = PION E LONDRES.
Napoléon avouait que ''L'HISTOIRE ÉTAIT UNE SÉRIE DE MENSONGES CONVENUS''. Toute guerre est contre l'Humanité. LES GUERRES MONDIALES étaient celles des Élites militaires contre les masses.....
LA MONARCHIE PAR SES GÉNÉRAUX SONT LES CRÉATEURS DE TOUTES GUERRES, DE TOUS CONFLITS, DE TOUTES CRISES pour ralentir la Production Mondiale de nourritures mais d'augmenter le renforcement des structures élitistes militaires contre les peuples de la terre......
Raymond Aron et Henry Kissinger, 1983
Né en 1905, Raymond Aron appartient à une vieille famille juive alsacienne. Un de ses lointains parents soignait Louis XIV.
Premiers pas à Londres
Aron se distingue surtout en critiquant ouvertement le général de Gaulle, notamment dans un article de 1943 intitulé L’ombre de Bonaparte. Les rapports qu’il entretient avec Labarthe sont cordiaux. Ce que ne sait pas encore Aron, c’est que le responsable de La France libre sera plus tard suspecté, notamment par l’atlantiste Henri Freney, d’être un agent soviétique appartenant au réseau Harry Robinson.
Churchill déclare alors: ''Désormais la France et la Grande Bretagne ne sont plus deux nations, mais une nation franco-britannique indissoluble….: Chaque citoyen français jouit de la nationalité anglaise,chaque citoyen britannique devient un citoyen français…''
De Gaulle n'a jamais été blessé lors de la Première Guerre Mondiale comme l'a prouvé Yves
On reconnaît bien le style ALLEMAND chez De Gaulle....
On ne les appelait pas pour rien ''ESCADRONS DIVISIONNAIRES''.....
De Gaulle est Lieutenant au début de la Première Guerre mondiale. Le 2 mars 1916, son régiment est attaqué et presque détruit par l'ennemi, sa compagnie est anéantie au cours de ce combat et les survivants sont encerclés. Il est de nouveau blessé et les troupes allemandes, l'emmenèrent et le soignèrent..... bizarre, bizarre, bizarre alors que sa troupe fut détruite par ces mêmes Allemands....
Et voici un extrait de sa lettre: '' « Et au milieu de tout cela, d'innombrables […] détestés à mort de toutes les classes de la société, tous enrichis par la guerre dont ils ont profité sur le dos des Russes, des boches et des Polonais, et assez disposés à une révolution sociale où ils recueillaient beaucoup d'argent en échange de quelques mauvais coups. » Lettres, notes et carnets, éd. Plon, 1980, tome 2, p. 28. Le substantif qui suit innombrables a été enlevé par l'éditeur.''
Je les appelle les ''DRAPEAUTISTES'' ou patriostistes ou .....et c'est toujours l'esprit militaire qui divise l'Humanité en pays contre pays, langues contre langues, drapeaux contre drapeaux, armées contre armées, ...... mais les diviseurs-aristocrates, eux, sont unis ondialement sous LA SECTE INTERNATIONALE DES ÉLITES.
LONDRES VOULAIT S'ACCAPARER DES LIEUX SAINTS voire du Monde Entier.
Pour Staline, un pays qui s’était effondré en quelques semaines comme la France devant les nazis ne méritait aucun respect. Pour lui, la classe dirigeante française était «pourrie jusqu’à l’os». Elle s’était «livrée à Hitler et le soutenait de toutes ses forces».
De Gaulle: l’homme qui est resté aux côtés de la Grande-Bretagne en 1940 ne saurait être abandonné, explique-t-il en substance à Churchill. De Gaulle restera donc un cavalier dans le jeu britannique.
En France, de Gaulle est condamné par contumace (Une condamnation par contumace est une condamnation prononcée par un juge à l'issue d'un procès pendant lequel le condamné n'était pas présent) d’abord à quatre ans de prison et la perte de la nationalité française[25], puis, le 2 août 1940, le Tribunal militaire de Clermont-Ferrand le condamne par contumace à “mort, dégradation militaire et confiscation de ses biens meubles et immeubles” pour “Trahison, atteinte à la sûreté extérieure de l’État, désertion à l’étranger en temps de guerre sur un territoire en état de guerre et de siège”.
ET LA FRANCE DEVINT OFFICIELLEMENT UNE AUTRE DES NOMBREUSES COLONIES BRITANNIQUES.... Le débarquement du 6 juin 1944, qui pour Gaulle devait, en tant que «maître de maison», annoncer sa rentrée au sommet des affaires, faillit faire de lui non seulement un oublié mais un «exclu». On a mille fois conté ces heures des 4 et 5 juin 1944 au cours desquelles le chef du «gouvernement provisoire» de la France libre, tenu à l’écart par ses deux alliés anglo-saxons, est informé que la France «libérée» sera administrée, comme les pays vaincus, par un Amgot, organisme voué à la gestion des territoires occupés et doté d’une monnaie parachutée.
Le général de Gaulle fut le seul et unique grand maître de l'ordre DES DRAGONS BRITANNIQUES
Petit Ogre est devenu grand : Charles de Gaulle
Par Londres, De Gaulle se rallie à la République puis rentre en France en 44. Il réprime les émeutes de Sétif férocement et fonde le fascisant RPF dont les membres fondateurs sont les nombreux pétainistes de son enturage. Ce sont ses partisans qui complotent avec l'extrême droite pour le porter au pouvoir en 1958. Pour remercier Jean Foccart il lui donne la direction du SAC, milice créée pour le servir entièrement, composée de truands, des anciens de l'OAS et d'anciens de la Gestapo française, détail qu'on passe trop souvent sous silence.
Si grand que vous voyez de Gaulle, il l'a été autant pour ses crimes à côté desquels ceux de Mitterand paraissent dérisoires.
"Toute sa vie De Gaulle aura pratiqué le double langage avec un art consommé. Nul n'aura mieux prêché le faux pour savoir le vrai, enveloppé de mystère ses intentions"
De Gaulle,ce Franc Maçon général au solde de Londres, va résider à Londres avec sa famille pour être bien à l'abri des décisions qu'ils ont prises pour jeter leurs citoyens dans le chaos de la guerre..... Puis, ce bandit, revint en France en héros...... Non mais qu'on est bêta !!!!
L'indépendance de De Gaulle? c'est le plus grand imposteur de l'histoire..... Il ne croyait pas ce qu'il affirmait: CE N'ÉTAIT QUE POUR MANIPULER ET ENDORMIR LES MASSES.Jamais un hiérarchiste de générale ne sera gauchiste et parlera de partage et d'égalité, de liberté..... car un militaire c'est une hiérarchisé qui croit fermement que tout peuple est con et doit être surveillé, puni ou récompensé..... Une fois à la tête de de sont petit gouvernement à Alger, De Gaulle se foutait de la résistance ...
Il se fait entendre comme un galop, alors qu’il a seulement dirigé la Résistance depuis l’Angleterre ----Angleterre, pays du Comité International des Révolutions (pour diviser l'Humanité).Il a pensé et a agi contre son milieu social (1940). Et il y son mensonge que la Vième la République fut fondée par ET pour le peuple alors qu'aussi les Français sont des colonisateurs-colonisés par Londres qui les fout en guerres quand elle le veut pour les rendre docile et les mettre aux pas britanniques..... L'Angleterre, par son HITLER, a humilié la France en la faisant envahir de soldats Allemands (Rois et Reines de Londres sont aussi des Allemands) pour ensuite la faire libérer par les Américains..... Belle leçon servie à la Britannique pour rire des français et leur rappeler qui mène sur cette Planète (rois et reines du Royaume-Uni)..
Le 1er décembre 1942, par un décret officiel de la France Combattante, François d'Astier est nommé adjoint au général de Gaulle, commandant en chef des Forces Françaises Libres et membre du Haut Comité militaire dont il prendra la présidence en l'absence du général de Gaulle. Cette nomination fait de François d'Astier le plus important responsable militaire de la France Libre après de Gaulle. En fait, le général de Gaulle avait souhaité confier un commandement important à François d'Astier dès son arrivée à Londres le 18 novembre comme on peut le lire dans un télégramme adressé ce jour-là aux délégations de la France Combattante dans l'Empire et à l'étranger: "Le général d'Astier de La Vigerie et le délégué syndicaliste Morandat sont arrivés aujourd'hui de France en avion. (…) Suivant le général d'Astier de La Vigerie tout le monde en France a été soulevé par la stupeur et par la colère en apprenant que Darlan exerçait l'autorité sous la coupe des Américains. (…) Mon intention est de confier un commandement important au général de corps aérien d'Astier de La Vigerie. C. de Gaulle. (Charles de Gaulle. Lettres, notes et carnets. Plon, 1982.)".
Dès le lendemain de cette nomination, le 2 décembre, de Gaulle adresse un courrier à Churchill afin de lui faire part de son souhait d'envoyer à Alger le général d'Astier: "SECRET. Mon Cher Premier Ministre, Comme vous pouvez le penser, le Comité national français est très désireux d'être informé sur la situation actuelle en Afrique du Nord française. (…) Je voudrais que le général d'Astier de La Vigerie pût trouver d'urgence les moyens de se rendre en Afrique du Nord française afin d'étudier sur place les éléments des problèmes posés et d'en informer le Comité national. ....
Quelques jours plus tard, de Gaulle reçoit le feu vert d'Eisenhower pour cette mission.
En réalité, derrière cette mission s'en cache une autre.
De Gaulle, le 14 décembre, adresse le télégramme suivant à Adrien Tixier, son représentant à Washington. "SECRET. Les Américains viennent de consentir à transporter en Afrique du Nord française le général d'Astier de La Vigerie. Je lui ai donné pour mission de s'informer sur tout et de m'informer. Cela est nécessaire pour que nous puissions régler notre attitude d'après les faits et agir en conséquence. Naturellement, d'Astier n'aura rien à voir avec Darlan. Peut-être verra-t-il Giraud, mais non officiellement. (…) (Charles de Gaulle. Lettres, notes et carnets. Plon, 1982.)".
Mais que faisait De Gaulle à s'occuper de l'Afrique pour la coloniser alors que la France craignait Hitler ????
De Gaulle était l'homme des Rothschild" de Londres. De Gaulle s’allie à la famille Rothschild. Il choisit comme Premier ministre le fondé de pouvoir de la Banque, Georges Pompidou. Les deux hommes forment un tandem efficace.
Née en Angleterre en 1717 dans une auberge londonienne. Elle arrivera en France en 1773 sous le nom de " grand orient de France ".
L'Armée Secrète (AS) et Moulin auront besoin d'argent. Les budgets sont connus, pour la période qui nous intéresse de janvier à mars 1943, près de 12 millions de francs seront alloués à Combat, près de 6 millions de francs à Moulin, 4 millions de francs à l'Armée Secrète de février à avril 1943.
Les porteurs [américains] d’emprunts allemands
Lacroix-Riz confirmera notre propos sur la collaboration de John Foster Dulles en soulignant dans "Industriels et banquiers sous l'occupation" que : "Le sévère Enemy Act prohibant à l’entrée en guerre tout commerce avec l’ennemi fut... violé dès l’entrée en guerre des Etats-Unis, et plus encore quand Stalingrad posa la question de l’après-guerre. [...] Ces intérêts communs suscitaient des va-et-vient fréquents entre les Vieux et Nouveaux Continents, ‘voyages d’affaires en Allemagne’ omniprésents dans les correspondances et les passeports de John Foster Dulles : très actif dans leur réorganisation à la veille d’un conflit certain, celui qui représentait dans les années 20 et 30 les ‘porteurs [américains] d’emprunts allemands’ se rendit chaque année à Berlin de 1933 à 1939."
Mr. Alfred sera un privilégié - au prix du sang qu'il convient de payer pour la manifestation des capitalistes euroatlantistes - et finalement traité à l'égal d'un grand "professionnel" de bout en bout de son histoire avec Darlan à Vichy, à Alger, en Afrique impériale comme en françafrique. La BNCI libre de toute manoeuvre sous l'occupation sera blanchie comme tant d'autres banques. Le capital sous Vichy est bien libre de tout mouvement; Lacroix-Riz le confirmera en 2003 dans "Industriels et banquiers français sous l'Occupation" : "Dans aucun domaine (...) Vichy ne précéda le capital privé. Il cautionna des décisions arrêtées en dehors de lui [...]."Le message est sans ambiguité.
Lacroix-Riz écrira à propos d'Alfred Pose : "Après l’assassinat, le 24 décembre 1942, de Darlan, auquel furent mêlés les gaullistes, Washington revint vers Giraud, fugace second de De Gaulle au Comité français de libération nationale (CFLN) fondé le 3 juin 1943. Au général vichyste s’étaient ralliés, surtout depuis Stalingrad, hauts fonctionnaires (tel Maurice Couve de Murville, directeur des finances extérieures et des changes de Vichy) et industriels (tel l’ancien cagoulard Lemaigre-Dubreuil, des huiles Lesieur et du Printemps, qui jouait depuis 1941 sur les tableaux allemand et américain) et banquiers collaborateurs (tel Alfred Pose, directeur général de la Banque nationale pour le commerce et l’industrie, féal de Darlan)". ("Quand les Américains voulaient gouverner la France").
Le Parti Populaire Français (PPF, parti fasciste) financé par le grand patronat (dont la BNCI) est également au centre du dispositif conspirationniste des synarques polyvalents "service-trahison", "agents du complot de la défaite française de 1940", puis agents du complot dirigé "contre les tendances socialistes de la revolution nationale et du pétainisme, en vue, selon Rochebrune-Hazara, de protéger les intérêts économiques étrangers, en particuliers juifs et anglo-saxons"; des synarques comme Pierre Pucheu du Comité des Forges, ex-Croix de feu (industriel - gérant de Japy pour Worms -, ministre de la production et de l'intérieur de Pétain, créateur de sections spéciales anti terroristes GMR et "Mr.guillotine" en 1941, exterminateur de résistants et de cadres communistes (Grenier), exécuté à Alger en mars 1944) ou comme Gabriel Leroy-Ladurie, directeur de la Banque Worms "épine dorsale de la synarchie" (Lacroix-Riz), "éminence grise de la synarchie" (Rochebrune-Hazara); Kuisel, de son côté, ne croira guère au complot synarchique. Seront également financiers du PPF " les banques Verne, Rothschild, Dreyfus, Lazard, la BNCI et la banque d’Indochine ». (French fascism : the second wave (1933-1939), Soucy).
Le système bancaire franco-allemand (1900-1970) n'évitera pas cette "neutralité" qui finit par fondre le sens critique dans l'attitude "professionnaliste" de la banque sous l'occupation qu'il observe, et bien entendu par nourrir une tendance au "compromis" victimisant ou déculpabilisant, à tort, la profession bancaire. Bonin évoquera toutefois dans plusieurs documents, notamment dans : "Peut-on imaginer des banquiers patriotes et résistants (1940-1944) ?", la position résolument collaborationniste de la BNCI (CCF, Paribas - et son réseau de partenaires allemands et autrichiens pro-nazis -, la Société Générale) et d'Alfred Pose.
"Bref, écrit Bonnin spécialiste français de la banque, une forme de « professionnalisme » l’aurait emporté dans plusieurs banques sur toute implication dans le vichysme ou le collaborationnisme. Une remarque paraît intéressante, que nous avons dénichée chez Philippe Burrin : « D’autres opérations [franco-allemandes] engagent tout simplement l’avenir, et il faut ici donner quitus au Comptoir national d’escompte, la seule grande banque à s’en être abstenue. » Nous n’avons pas (encore) trouvé dans les archives du Cnep d’explication à ce non-engagement dans de telles affaires. Mais c’est un indice d’une attitude partagée par plusieurs banques, face au collaborationnisme déclaré de plusieurs dirigeants éminents de Paribas, du Ccf, de la Bnci et du président de la Société générale. Le monde des banquiers n’est pas homogène, lui non plus, et il est traversé de courants et de sensibilités, comme le décrit Charles Rist quand il analyse l’opinion de ses collègues membres du conseil d’administration de plusieurs établissements : les attentistes et les partisans d’une victoire des Alliés sont tout de même majoritaires face aux anticommunistes et proallemands virulents. Le maintien des flux d’activité de leur banque, au nom du « professionnalisme », ne se confond pas avec une impulsion à tout prix des intérêts de la maison telle qu’elle est mise en oeuvre par Alfred Pose à la Bnci et par Laurent-Atthalin à Paribas, notamment..." (Bonin, 2005).
« Les activités de l’OSS (Le Comité International de la Croix Rouge comme façade à l'espionnage pour surveiller ses pions) sur sol helvétique restent peu connues. La Suisse est restée très discrète (en matière d’espionnage), et même secrète sur son importance pour le renseignement allié durant la Seconde Guerre mondiale. Dommage. A ceux qui l’accusent d’avoir été trop conciliante avec l’Allemagne nazie, elle est en droit d’opposer ce rôle-là. D’autant qu’elle n’a pas été seulement un théâtre d’opérations. Ses services secrets ont aussi œuvré durant toute la période aux côtés de leurs homologues américain, britannique, gaulliste et même soviétique ».
Les « mauvaises actions » d’Allan Dulles
La source la plus prolixe de l’antenne bernoise de l’OSS était un certain Fritz Kolb, dit « George Wood », qui travaillait au ministère des Affaires Etrangères du Reich. Il connaît bien le milieu diplomatique allemand, a beaucoup voyagé et surtout est à la fois un antinazi et un anticommuniste convaincu. Discret, bénéficiant de protections, travailleur infatigable et apprécié de ses employeurs du Reich, il fait parvenir à l’OSS de Berne pas moins de 1200 documents tous d’actualité et est à l’origine de la fameuse affaire Ciceron, en révélant que le valet de chambre de l’ambassadeur britannique à Ankara était un espion allemand. Dès 1945 il se réfugie en Suisse et travaille pour Allan Dulles. Considéré comme traître, il ne réussira pas à réintégrer les services diplomatiques de l’Allemagne Fédérale et restera en Suisse, travaillant comme représentant d’une fabrique américaine de tronçonneuses. Il refusera également de s’expatrier aux Etats-Unis, dont il n’apprécie pas le mode de vie.
Reinhard Gehlen, officier militaire allemand, est un autre fleuron, tardif mais productif, de l’officine bernoise d’Allan Dulles. Colonel en 1942, chef des armées de l’Est, il « recrutera » plus de 100 000 prisonniers de guerre soviétique pour constituer l’Armée de libération de la Russie. En 1943 il est promus général de brigade. Devenu défavorable à la cause hitlérienne, en mars 1945, il dissimule sous forme de microfilms tous les documents concernant l’Union Soviétique en sa possession et se rend en mai de la même année aux Américains. Deux mois plus tard il remet à l’OSS un compte-rendu édifiant et à l’instigation de cet organisation fonde le Résau Gehlen, l’oeil de Washington sur les pays de l’Est et l’URSS. Dulles avait bien sûr promis de protéger Gehlen, les deux personnages s’entendant parfaitement.
A noter finalement que les renseignements acquis sur les V2 qui bombardaient Londres venaient aussi du bureau bernois de l’OSS. Noter également qu’Allan Dulles, promu chef de la CIA, est à l’origine de la triste épopée du débarquement de la Baie des Cochons, à Cuba.
Mais c'est pathologique, ces généraux qui aiment la guerre ET JOUER AUX HÉROS nous font croire n'importe quoi et, nous, naïvement on les vénère..... c'est n'importe quoi cet Histoire écrite par des militaires qui font Allégeances à la Couronne d'Angleterre ou à leurs supérieurs hiérarchiques, mais leurs supérieurs sont mis en place par Londres par divers truchements.
Mr. Alfred préfèrera la rationalité de la "nationalité" (tout comme Hitler préfèrera le principe national et l'honneur au juge et au droit formel au temps du procès des criminels de guerre de Leipzich, la suprématie aryenne aux races inférieures, l'espace vital aux droits des nations) et l'efficace de l'impact psychologique des nouvelles normes commerciales de la séduction et de la publicité, clefs du néolibéralisme, sur la clientèle héritière de l'ancien empire colonial.
Mr. Alfred soutiendra le jeu supraétatique joué par la plupart des acteurs civils et militaires au pouvoir, tout au long de la collaboration, de la guerre et de la résistance, celui du capitalisme, de Pétain, de Darlan, de Giraud, de De Gaulle et qui se résumera à refuser l'indépendance aux colonies pour d'évidentes raisons économiques et politiques, jeu qui se soldera par la stratégie gaullienne des belles promesses d'indépendance et par Foccart à l'Elysée. Une stratégie gigogne de voyous d'avenir d'autant que les premières agences de la BNCI en 1932 verront le jour sur les terres régionales prometteuses, commercialement parlant, d'Alsace-Lorrainne.
Cette stratégie du choix de la nationalité française ou "inspirer confiance à l'industrie et au commerce national franco-allemand" à travers un inépuisable réseau de guichets, d'affiches et de promotions incitatives s'opposant à l'aventurisme spéculatif de type panaméen - créer les conditions de la concurrence, impulsion quasi idéologique, militaire, étatique et bien évidemment vitaliste - permettra d'investir en toute sécurité avec l'aval des pouvoirs sans la critique du peuple, la nouvelle clientèle (moteur de la production selon Mr. Alfred) et les employés, dans l'économie française et allemande - à l'instar du CEM depuis 1887 et de la BNC jusqu'à son effondrement en 1932 -, ce, durant le temps de l'expansion du NSDAP, du réarmement allemand et de l'ascencion d'Hitler à la chancellerie en janvier 1933.
La Dresdner Bank qui faisait de la promotion en France dans les années 1930 sur la rationalisation, les machines à statistiquer, sera nationalisée par l'Etat allemand en 1932 après son effondrement lié à la crise de 1931 puis privatisée-aryanisée par le IIIème Reich avant de devenir un fer de lance dans l'économie nazie. Pas davantage de surprise, également, quand le Reich fournira à nombre de filiales de la BNCI commissaires allemands et administrateurs provisoires. "De l'esprit sportif, suggèrera Mr. Alfred à ses directeurs de 1930, de la modestie devant les faits..."
L'Alsace-Lorraine à travers notamment la Banque d'Alsace-Lorraine, BAL, et la Sogenal "Société générale alsacienne de banque germanisée Allgemeine Elsässische Banggesellschaft : "fruit d’une nécessité politique et diplomatique après que l’Alsace-Lorraine ait été rattachée au Second Reich allemand et banque régionale européenne au sein de l’économie bancaire germanique fortement décentralisée, en lien (discret) entre « la France de l’intérieur » et l’outre-Rhin", jusqu'en Autriche, écrira Bonin, est une banque que Mr. Alfred connaît très bien puisqu'il y travaillera (en tant que directeur des études, ndlr) avant de conduire la BNCI".
La BAL et la Sogenal serviront également "de tête de pont, écrira encore Bonin, au transfert de capital d’expérience et de technologie de l’Allemagne vers la France dans le domaine des techniques de mécanisation comptable. Une économie industrielle de la mécanisation comptable se structurera, en effet, au tournant des années 1930, grâce en partie aux débouchés financiers. Les banques, avec 23 unités, et les compagnies d’assurances, avec 50 unités. Banques et assurances détiendront ainsi presque un tiers des 268 équipements mécanographiques allemands installés en France en mars 1933; en mars 1933 sera également scellé l’accord franco-allemand qui prévoit de solder les dettes allemandes en devises vis-à-vis des banques françaises grâce aux revenus des exportations (charbons, denrées) vers la France.
LA FRANCE ALLIÉE DU NAZISME BRITANNIQUE
Il est donc quasiment impossible pour un capitaliste de métier "franco-allemand" - dont l'enrichissement et l'expansion en terrain concurrentiel dépendent de la maîtrise des informations (plus encore quand son objectif consiste en la création de l'environnement concurrentiel), des études de marché, des langues, des technologies, des réseaux d'affaires interdépendants, des politiques, des religions, des oppositions - d'ignorer l'aspect proprement liberticide et homicide des années 1930 et en particulier de cette année 1933, année de l'incendie du Reichstag. Impossible pour un authentique capitaliste "franco-allemand" agissant en profondeur, territorialement, politiquement et socialement, d'ignorer l'appareil répressif nazi, le harcèlement des minorités, des communistes et des juifs. Impossible de "faire des affaires" transfrontalières ou transnationales, Bonin, le dit à mots couverts, Lacroix-Riz ou encore Brenner, le confirment à haute voix (y compris entre nazis et juifs), sans contribuer activement, explicitement, au processus historique, politique, social, intellectuel, juridique, culturel de la répression policière politique nazie, sans collaborer à tout le moins indirectement mais en toute conscience à son installation et à son irrémédiable développement.
Gaullistes et communistes ou quand
les classes bourgeoises dirigeantes s'associent mondialement contre leurs citoyensEn 1949, De Gaulle était nommé sous-Secrétaire d'État à la Défense Nationale et à la Guerre.
Un pacte secret [1] fut scellé entre de Gaulle et Staline dès l’attaque allemande contre l’URSS (juin 1941). Il fut renouvelé, officiellement cette fois, un an plus tard, fin 1942. Les communistes, inféodés à Moscou, avaient pendant toute la « drôle de guerre » et la première année de l’Occupation, soit pendant deux ans, appelé à un rapprochement avec les nazis. L’Humanité reçut son autorisation de reparaître. Jean Moulin, en particulier, a ainsi contribué non seulement à intégrer les communistes dans la mouvance de la France libre, selon les instructions de de Gaulle, mais finalement à leur assurer la prépondérance dans le Conseil national de la Résistance. Cette alliance sera même renforcée après le débarquement des Alliés en Afrique du Nord, en novembre 1942
La flotte française détruite à Mers-El-Kebir par les Britanniques
L'aviation anglaise ouvre le feu à 18 heures sur les bâtiments français basés à Mers el-Kebir près d'Oran. Le cuirassé "Bretagne" est coulé, les cuirassés "Dunkerque" et "Provence" gravement endommagés. 1380 marins français trouvent la mort. L'attaque britannique survient quelques jours après la signature de la capitulation française face à l'Allemagne. Le gouvernement de Winston Churchill prétexte qu'il craignant que la flotte française ne passe aux mains du Reich propose aux forces navales françaises d'Algérie de passer sous leur autorité. Et ce n'était pas de la francophobie mais pour mater les militaires français non initiés aux magouilles des Dirigeants de tous les Pays unis contre leurs populations prolétaires.
Le général De Gaulle de 1947 1951 essaiera de conquérir le pouvoir comme Hitler.
aucun moment Charles de Gaulle ne remet en cause les accords du Plan Marshall selon lesquels les Américains doivent pouvoir accéder aux matières premières de l’Empire. Bien au contraire, c’est avec des sociétés à capitaux mixtes franco-américains qu’il exploitera le "domaine réservé", évinçant les sociétés des autres États occidentaux. Il place le pétrole et l’atome au centre de sa politique étrangère.Depuis 1954 [7] , le gouvernement américain transfère, secrètement et illégalement, ses secrets atomiques vers la France et Israël
Les DIRIGEANTS de la FRANCE, l'Allemagne, la Russie, le Canada.... sont tous complices contre l'Humanité.
Le général De Gaulle fut un autre DRAGON de Londres.
Ces soldats qui s'appellent 'compagnons'' entre eux, sont des confréries, des traîtres contre l'Humanité.
Et voilà ce que la noble Couronne d'Angleterre réserves à ses Sionistes et Francs Maçons ''Chefs des États'' lorsqu'ils ne font plus l'affaire .......
Londres via la CIA avait mis en place aussi Sadam Hussein, mais lorsque la Famille Royale d'Angleterre n'en a plus eu besoin, elle l'a fait éliminer, comme elle le fait avec plusieurs de ses pions internationaux.
TOUT MILITAIRE EST UN TRAÎTRE car il méprise les peuples en les taxant de ''communistes'' parce que fraternels et voulant l'Égalité, la Paix, le Partage..... alors que les militaires veulent le contraire et... ( ils aiment les honneurs et la vie de combat)... (ce sont des déviés sanguinaires).
LA Belgique a laissé la C.I.A assassiner LUMUMBA
CONSPIRATIONS ÉLITISTES.... Petits rappels historiques ....
Guillaume le Bâtard qui deviendra GUILLAUME LE CONQUÉRANT, ce conquérant de l'Angleterre, sera le sixième duc de Normandie.
Avec le temps, la féodalité de type français (équité et non l'égalité) triomphera des traditions égalitaires des anciens Vikings (même les bandits savaient partager mais pas nous, évidemment que si certains refusaient de partager ILS S'ENTRETUAIENT, alors ils partageaient).
Guillaume avait envoyé Mohamed qui devint prophète du Coran, mort en 634, pour fonder une religion afin de manipuler les esprits.
La Preuve : car ce n'est donc pas tant grâce aux succès guerriers des Arabes eux-mêmes, mais aussi par l'initiative des populations locales converties à l'islamisme, que l'Angleterre par le drapeau du prophète s'avance très rapidement dans des territoires nouveaux.
Les paroles de De Gaulle à propos de son intervention sur le Forum d'Alger en juin 1958 confortent les propos tenus par ma mère ce même jour.
Aux personnes qui lui disaient Mme XXX vous avez entendu ce que De Gaulle nous a dit ? Elle a froidement répondu :
"Ce n'est pas je vous ai compris" qu'il faut entendre mais "Je vous l'ai mis".
Malheureusement pour nous, elle avait vu juste.
Quand aux remarques de De Gaulle vis à vis de Salan, elles ne sont pas étonnantes, la grande Zhora ne pouvait supporter Raoul Salan, si vous regardez des photos d'époque, vous verrez rarement charlot en tenue de militaire face au Général Salan, pour une raison bien simple, les deux étoiles de Zhora étaient obligées de rendre honneur aux cinq étoiles de Salan.
Le meilleur de la revanche que pût prendre indirectement Salan, c'est lors des évènements de Mai 1968, quand De Gaulle disparut brutalement pendant une journée. Il était allée tout simplement demander à l'armée cantonnée en Allemagne, si cette dernière soutiendrait la France face aux événements qui tournaient mal à ce moment là.
L'accord fût donné après que De Gaulle se soit engagé à libérer le Général Salan emprisonné à Tulle.
Je voudrai dire un mot à propos du référendum sur l'autodétermination qui eu lieu en janvier 1961 (le 5 si mes souvenirs sont exacts), ce fût le plus grand magouillage qui ait jamais existé.
Obtenant le ralliement de plusieurs possessions coloniales françaises, notamment en Afrique grâce au ralliement rapide du gouverneur Félix Éboué (le 28 août le Tchad, le Congo et le Cameroun, le Gabon étant conquis dans le mois de novembre 1940), de Gaulle se place à la tête du Comité national français à partir du 24 septembre 1941.
LES ANTI-JUIFS FRANÇAIS
Les républicains étant hégémoniques dans la Résistance intérieure et de plus en plus puissants au sein de la France libre.
A la mairie d'Alger, où l'on trouvait des scrutateurs tant métropolitains (acquis à la cause de De Gaulle) qu'Algérois de souche, les urnes remplies de bulletins "OUI" étaient prêtes dans un local, ce fût l'un des membres du bureau de vote un algérois qui s'en aperçu, soupçonnant quelque coup fourré, il fit une marque au stylo sur l'urne qui servait à voter, vers la fermeture des bureaux de vote, il fût éloigné du sien pour une raison lambda, son absence ne dura pas plus de 5mn, au retour, l'urne qui était sur la table ne portait plus aucun signe. Prévenant ses collègues de la mairie qui se trouvaient dans les lieux, il y eu une belle empoignade, une fouille des locaux et l'on finit par retrouver des urnes dans un local, certaines n'avaient pas été encore substituées, et naturellement elle ne comprenaient que des "OUI".
Autre annecdote toujours à propos de ce fameux référendum, ma famille étant d'Orléansville, la soeur aînée de ma mère tenait toujours le bureau de vote chez le Bachaga BOUALAM, ce dernier avait ordonné à ses partisans l'abstention, qui fût totale, pas un bulletin dans l'urne. A la fermeture du bureau de vote l'armée comme partout ailleurs en Algérie est venue chercher l'urne pour procéder au dépouillement du scrutin hors les murs du bureau de vote.
Oh surprise ! Chez le Bachaga tout le monde avait voté "OUI" et il y avait même 13 bulletins de plus que le nombre d'inscrits ! Etonnant non ?
A Alger les urnes furent ouvertes sur le vaisseau amiral de la marine, et là aussi, il y eut 99,99 % de "OUI". De Gaulle sachant que ni les musulmans dans une grande proportion, ni les européens ne voteraient "OUI" utilisa la triche pour parvenir à ses fins.
1947 Assassinat de Leclerc par De Gaulle c'est la vérité.
L'avion s'est écrasé au Sud de ColomBéchar soit disant pris dans un vent de sable, pourquoi alors la carlingue avait un trou dont les bords de métal étaient tournés vers l'extérieur ?
Ce n'est pas le simoun qui fait cela, quand un avion se crash, vous ne trouverez jamais ce genre d'indice, sauf s'il y avait une bombe à bord !
La personne de ma famille qui était dans le renseignement militaire et qui nous a toujours affirmé que l'avion du Maréchal était tombé non pas à cause du vent de sable, mais d'une bombe est décédée il y a trois ans.
D'après elle qui était on ne peut mieux renseignée, De Gaulle ne pouvait supporter le Maréchal, ce dernier ayant combattu comme un vrai militaire et non pas comme le poltron qu'était Charlot.
Vraisemblablement Leclerc détenait sur De Gaulle et son entourage des informations qui étaient sensibles.
Quelle émotion en lisant votre message de retrouver le nom du Brigadier de CRS Litchlé, je l'ai bien connu, son père était l'ordonnance de mon père quand ceux-ci était dans l'armée, d'ailleurs le jour où il fut assassiné, son père et le mien se sont rendus à la morgue de l'hôpital Mustapha pour identifier le corps.
il était très anti décolonisation et avait des activités avec l'OAS, c'est cette raison qui l'a fait mourir, mais pour continuer dans l'abject, il faut savoir que le jour de ses obsèques religieuses à l'Eglise d'Hussein-Dey, le curé Scotto a tenté de s'opposer à la cérémonie prétextant qu'un "suicidé" n'avait pas le droit d'entrer dans une église.
Comme la famille et les amis répondirent au curé qu'il n'était pas suicidé mais assassiné, le curé Scotto nous a répondu : "il a voulu rester ici (en Algérie) c'est parcequ'il voulait mourir", donc c'est un suicide.
Lorsque nous eûmes connaissance de ce fait, je puis vous dire qu'une partie de la population d'Hussein-Dey se précipita vers la cure, mais SCOTTO avait pris le large.
Dans nombreux de ses discours, De Gaulle ne cesse de taxer les universitaire d' ''ANARCHISTES'' simplement parce qu'ils critiquent et soumettent des idées. On voit encore ici que les militaires considèrent les masses comme ''connes'' et tout juste bonnes à mettre au pas militaire.
De Gaulle n'était pas un séparatiste.
Le problème est le même, que vous soyez du Québec, de l'Ontario ou d'ailleurs. Le problème n'est pas cette vieille structure administrative qu’est l'Empire Britannique, nommé Crown Agents (ou agents de la couronne) mais la Reine elle-même et ses 1000 Lords et leurs 12 500 Chevaliers de Malte avec leurs millions de Maçons et soldats répartis dans le Monde..... Avant que le Canada ait le statut de «pays», nous n'étions que le Dominion du Canada; un appendice de l'Empire Britannique, sur le continent américain, administré par des Crown Agents, à travers des centaines d'institutions. Cette structure existe encore, et exerce encore une influence.
La Chine d’aujourd’hui : la plus grande réserve d’esclaves pour le capitalisme Britannique.
CONCLUSION
Commentaire d'un internaute: '' Il parait qu'il faisait de la resistance..!! (mais de loin la) il..
faudra juste demander aux vrais résistants qui sont morts a vraiment en faire!!!! ensuite il débarque sur une décapotable pour saluer la foule!!! pas mal!! le pays a le général qu'il mérite..''
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