L'ESCLAVAGE ET LA DETTE
A chaque forme de dette correspond donc une forme d'esclavage. Le poids de la dette
conditionne les modalités de l'esclavage et sa durée : On conviendra de comparer la captivité à une dette temporaire et l'esclavage à une dette permanente. Au XIXe siècle la «
colonie » est le nouveau terme de l’esclavage. Et la dette reste son corollaire.
Dominic Strauss Kahn, dirigeant du FMI, membre du Grand Orient de France
La nouveauté n'est pas dans le fait que la dette soit le support de l'esclavage - Ce qui est nouveau
De même la dette n'est plus seulement liée aux esclaves - elle tend à s'étendre à toute la propriété des esclaves, à ses attributs de souveraineté et par conséquent aux terres habitées par des esclaves. La colonisation dans ce sens n'est qu'une conséquence de l'équation de dette = esclavage. La forme d'esclavage peut varier. La dette est inchangée parce qu'elle réside dans la définition du rapport qui s'établit entre les hommes (supérieurs ou inférieurs), et dans le fait que l'on soit dans l'obligation perpétuelle de payer un prix au fait de son infériorité.
On devient esclave parce qu'on doit, mais le statut d'esclave fait de vous un débiteur par « nature ». Les réseaux de la dette ressembleraient si l'on y prête plus d'attention au réseau de la traite négrière. Parce que la dette est le nouveau nom de l'esclavage.
Leurs faces de complices criminels
Ce gif animé aide à mieux comprendre le passé pour éviter de ne pas le répéter
Parmi les 14 pays de l’Afrique sub-Saharienne avaient bénéficié de l’effacement de la dette contractée avant 2005.... mais les états voyous, comme le Rwanda et l’Ouganda, qui ont bénéficié de l’effacement de la dette dans le cadre de l’Initiative Pays Pauvres les plus endettés (PPTE) envahissaient, agressaient et occupaient la République Démocratique du Congo, massacrant 5 millions de Congolais, pillant les ressources naturelles et minérales de la République Démocratique du Congo.
S C O O P S
ET
SCANDALES
DANS NOS ÉTATS-BANDITS
LA GUERRE DES CLIMATS PAR LE G-8 À NOTRE INSU
PROCÈS CONTRE LA BANQUE MONDIALE (2)
Depuis ces 15 dernières années il y a 4 fois plus d'orages partout dans le monde, et Londres et le G-8 (ces faiseurs d'orages) y sont pour quelque chose. Ça fait plus de 50 ans que nos États savent créer des orages, Nicolas tesla en avait fait la preuve il y a de cela plus de 60 années avec une machine à hyper-fréquences..... L'ex premier ministre du Québec, René Lévesque, avait été obligé de créer une Loi pour contrôler la production de PLUIES ARTIFICIELLES au Québec en 1972. Il est curieux que la majorité des gens n'en soient pas au courant alors que plusieurs pays jouent avec le climat depuis bien longtemps. On a beau être innondé.... de médias, le G-8 contrôle l'information et ne diffuse que ce qui ne les dérage pas.
Maintenant, voyez un assassin au solde de nos États-tueurs-en-séries afficher son visage et dénoncer ceux qui l'employaient à espionner et tuer ----
John Perkins (1)
ASSASSIN FINANCIER QUI SE CONFIE
Les États Conquérants continuent de nous dominer par le meurtre, les crises financières, la propagande du mérite médiatisée qutidiennement, les mensonges diffusés à la pelle.....
John Perkins (2)
ASSASSIN FINANCIER QUI SE CONFIE
Henry Ford et GM ont eu la médaille Allemande de l'Aigle d'Or durant la guerre ''Hitler''; le roi Édouard V111 était pro naziste et il alla aider Hitler puis après il revint à Londres pour y mourir beaucoup plus tard et sans jamais n'avoir été accusé; Prrescott Bush (le grand-père de Bush) faisait le COmmerce Mondial des Armes et lui aussi secondait Hitler; ....... La Couronne d'Angleterre est toujours une famille Allemande même si le roi Geroge V en 1917 a changé le nom allemand de ''Wettin'' pour celui de ''Windsor''........Hitler fluorait ses lacs pour annihiler toute volonté de sa population...... Alcan a contribué aux guerres mondiales (pas de guerres modernes sans aluminium) et Alcan de nos jours nous refile son déchet ''FLUOR'' dans nos dentifrices et..... . Visitez les blogs de Viny Eden et vous en apprendez davantage...===========================
En effaçant leurs dettes, ils ont eu les mains libres pour utiliser les nouveaux crédits qui leur étaient octroyés à acheter des armes et à violer la souveraineté d’un état voisin ; ou disons, des superpuissances et des multinationales bien connues leur ont fournis des «revolving fund» (fonds à repayer en nature : or, diamant, coltan, bois…) et des armes en contrepartie des dividendes.
Des politiques eugénistes du Nord contre le Sud (G-8 contre ses pays pauvres) ont provoqué la stérilisation forcée de centaines de milliers de femmes via la relation étroite entre la politique néolibérale imposée au Pérou et ailleurs par le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale, et le plan de planification familiale manigancé par les Chefs des Pays.
En échange de crédits et d’une renégociation de la dette, le FMI a exigé les privatisations – y compris dans le secteur de la santé – et l’ouverture au capital étranger, mais aussi un contrôle de la croissance démographique.
La Françafrique est aussi impliquée dans le pillage des ressources naturelles... privatisation des chemins de fer, contre-réforme agraire et criminalisation de la défense des droits des travailleurs.
- Il n'y a que le FMI et la BM qui obligent et qui dictent aux Etats africains ce qu'il faut faire de ces ressources-là . Les années 80-90 sont jonchées d'obligations de restructurations budgétaires imposées par le FMI et la BM, qui étaient d'avantage des freins au développement socio-économique des pays africains.
LE TRIBUNAL INTERNATIONAL DES PEUPLES SUR LA DETTE , ......
s’est réuni les 1er et 2 février, à Porto Alegre, Rio Grande do Sul, Brésil, comme partie du IIº Forum Social Mondial.
À l’instigation de mouvements sociaux et populaires, des églises, de syndicats, d’organisations professionnelles, d’ONG, de partis politiques et de personnes connues qui constituent le réseau Jubilé Sud dans 45 pays du Sud, avec l’appui de pays du Nord, le Tribunal international des peuples sur la dette s’est réuni, avec comme objectif principal, de déterminer et juger la responsabilité des banques, des entreprises multinationales, des gouvernements du Nord, du Fond Monétaire International, de la Banque Mondiale et d’autres organisations financières internationales du délit d’endetter illégitimement les pays et les peuples du Sud, avec un coût humain très élevé et la destruction de la capacité productive et de la qualité de vie des peuples, avec l’augmentation de la pauvreté, de la mortalité infantile, de l’exclusion sociale et de grands dommages économiques et écologiques.
Outre la mise en évidence de l’illégitimité de la dette et l’identification des principaux responsables et de leurs rôles respectifs, le Tribunal a comme objectif de proposer des voies alternatives de répudiation et condamnation de la dette.
Considérant :
1) que selon des études et des données, la dette des pays les plus pauvres a déjà été payée plusieurs fois, et est donc non seulement impayable, mais surtout illégitime, injuste et immorale,
2) que la dette externe n’est pas seulement un problème économique mais d’abord un problème éthique, politique, social, historique et écologique, qu’elle engage des responsabilités à des niveaux distincts et qu’elle exige une action immédiate,
3) que le service de la dette externe signifie un transfert net des ressources du Sud vers le Nord ; -qu’en 1998, les 41 pays les plus pauvres et les plus endettés ont transféré vers le Nord 1,68 milliard de dollars de plus qu’ils n’ont reçu ; que cette même année, l’ensemble des pays du Tiers Monde a enrichi de 114,6 milliards les caisses publiques et privées des pays les plus industrialisés,
4) que les peuples du Sud ont transféré vers le Nord, de 1981 à 2000, 3 700 milliards de dollars, ce qui correspond à six fois ce qu’ils devaient en 1891 (560 milliards), et qu’ils doivent maintenant 2 000 milliards,
5) que la politique néolibérale provoque une croissance exponentielle de la dette extérieure qui empêche les politiques sociales et hypothèque gravement la souveraineté politique des pays du Sud,
6) que la décision unilatérale des USA à la fin des années 70 d’augmenter les taux d’intérêt habituels de 4 ou 6 % à plus de 20% en quelques mois a signifié une véritable trahison de la bonne foi des contrats, et que, outre le fait qu’elle a obligé les pays endettés à emprunter pour payer les intérêts, elle a provoqué un payement supplémentaire qui a signifié une perte de 106 milliards de dollars pour l’Amérique latine,
7) qu’il y a un lien entre la dette extérieure, l’endettement public interne et la recherche de capital externe court terme, soumettant les pays du Sud à une politique de taux d’intérêt très élevés,
8) que les gouvernements des pays du Sud, qui considèrent le système financier comme un absolu et une fin, ont sacrifié la partie du budget destiné aux politiques sociales et à la dynamisation de l’économie interne pour maintenir à jour le payement de leurs dettes, avec comme résultats l’abandon de la santé, de l’éducation, des politiques de l’emploi, de l’habitation populaire, de la démarcation des terres des peuples indigènes et de leurs conditions de survie comme peuples, de valorisation des vieux et des jeunes, de réalisation de la réforme agraire, de conservation et récupération du milieu ambiant,
9) que les politiques économiques et d’ajustement du FMI furent désastreuses pour les pays qui s’y sont soumis et qu’elles ont servi à augmenter encore davantage la dette extérieure et les autres passifs extérieurs de ces pays, les forçant à un moratoire sans fin des dettes sociales et ambientales, desquelles sont créditeurs les garçons et les filles, les peuples indigènes, les femmes et les hommes travailleurs à la campagne et à la ville, les noirs et la nature,
10) que l’endettement de ces pays fut constitué par des gouvernements dictatoriaux et donc illégitimes et anti-populaires, et que les créditeurs, outre d’être complices, savaient les risques de ces prêts,
11) que l’augmentation de la dette est liée aux élites des pays du Sud qui pendant toute leur histoire et encore aujourd’hui, ont été complaisants avec les institutions financières de l’extérieur, aussi bien privées ou publiques et celles multilatérales,
12) que les pays du Nord ont avec le Sud une dette écologique à cause du pillage de leurs ressources, de l’appropriation intellectuelle de leurs connaissances ancestrales, de l’usage et la dégradation de leurs meilleures terres, de l’eau et de l’air pour des projets d’exportation qui menacent la souveraineté alimentaire, de la production de déchets toxiques qui mettent en danger la survie des peuples,
13) que la dette externe constitue une violation permanente des droits économiques, sociaux et culturelles établis par l’ONU le 16.12.66 qui exige la reconnaissance de chaque nation à l’autodétermination, au développement économique et aussi à la libre disposition de leurs richesses et ressources naturelles, et qu’en aucun cas un peuple peut être privé de ses propres moyens de survie.
Les membres du Tribunal des peuples sur la dette décident à l’unanimité :
1) La dette extérieure des peuples du Sud, pour avoir été constituées en dehors des normes légales nationales et internationales et sans consultation de la société, pour avoir favorisé presque exclusivement les élites au détriment de la majorité de la population, et parce qu’atteint la souveraineté nationale, elle est illégitime, injuste et non viable d’un point de vue éthique, juridique et politique.
2) Les accusés, banques et entreprises transnationales, gouvernements du Nord, Fond Monétaire International, Banque Mondiale et les autres institutions financières internationales de même que leurs collaborateurs dans le Sud, sont auteurs, coauteurs, complices et protecteurs des délits et crimes suivants :
Demander de rendre aux peuples les richesses que les dictatures, les gouvernements corrompus et les entreprises transnationales se sont illégalement appropriées,
**** Le Jury présente ce verdict au Tribunal comme geste de justice envers les peuples du Sud et toute l’humanité. C’est notre décision. Qu’elle soit publiée et diffusée.
COURS INTERNATIONALE CONDAMNE LE G-8 ET LES CLASSES DIRIGEANTES À RENDRE AUX PEUPLES DE LA TERRE...... À TOUT DÉPRIVATISER ET METTRE EN COMMUN LES PROFITS ET......
Pour passer enfin à autres choses que des problèmes d'argent....
Et nos Écoles doivent enseigner à vivre sainement, à manger pacifiquement (fruits et légumes en majorité)
Et que les États établissent des lieux accessibles à tous où les nécessités sont gratuites (nécessités: logements, nourriture.....)
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Annexe
Au Pérou, le scandale majeur de l'administration de l’ancien président Alberto Fujimori demeure totalement occulté tant au Pérou qu’à l’étranger : une
Sous prétexte de les vacciner, on les met en salle d’opération. On les anesthésie. Elles ressortent, une par une, sonnées avec une opération du ventre. Plus tard, elles comprennent – choc terrible – qu’elles ont été stérilisées, qu’elles n’auront plus jamais d’enfants.
En juillet 2002, les enquêteurs nommés par le ministère de la santé Péruvien (Minsa) rendent public un « Rapport final » gros de 137 pages d’où il ressort que, entre 1995 et 2000, 331 600 femmes ont été stérilisées, tandis que 25 590 hommes subissaient une vasectomie. « Ces personnes ont été captées, souligne le rapport, soit à force de pressions, de chantages et de menaces, soit en se voyant offrir des aliments, sans qu’elles aient été dûment informées, ce qui les a empêchées de prendre leur décision en réelle connaissance de cause. »
Un an plus tard, ces données sont rassemblées dans un livre percutant, associé à un document vidéo, Nada personal (Rien de personnel). Il contient une révélation dramatique : ce qui apparaissait au début, de la part du gouvernement, comme des « objectifs à atteindre » en matière de stérilisations s’est vite transformé en « quotas à remplir », de manière obligatoire, par chaque professionnel et chaque établissement de santé. De bonnes performances entraînent des récompenses. Les mauvaises, des châtiments. Nada personal se réfère à une politique d’Etat froidement établie et vaudra à son auteur menaces et intimidations.
M. Juan Manuel Guillén a occupé la fonction de maire de la ville d'Arequipa jusqu’en 2003. Ses vigoureuses protestations ont obligé l’actuel président, M. Alejandro Toledo, à renoncer à privatiser deux sociétés d’électricité. «tels que par Fujimori, soutient-il.
Les secteurs pauvres, voire très pauvres, potentiellement "dangereux", sont visés. Cela a violé les droits individuels, les droits des familles, et plus largement les principes éthiques sur lesquels devrait reposer la société. »
Qui a financé ces projets ? L’Agence américaine pour le développement international (Usaid) sera la principale source d’assistance technique et financière, en apportant une contribution de 36 millions de dollars, sept fois plus importante que le second donateur, le Fonds de population des Nations unies (UNFPA). L’Usaid a reçu le feu vert du Congrès américain à majorité républicaine et théoriquement hostile aux programmes de contrôle des naissances. On relève aussi l’apport d’environ 2 millions de dollars de la Nippon Zaidan (Fondation Japon).
Diverses organisations non gouvernementales (ONG), telles que l’américaine Pathfinder, reçoivent de l’argent, ainsi que l’organisation féministe péruvienne Manuela Ramos.
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